Violence médicale: les hôpitaux du Mississippi font prendre des risques à un patient cancéreux avec des protocoles COVID draconiens

lundi 14 mars 2022 par : Ramon Tomey

Wendy Heineck, résidente du Mississippi, a rejoint «The Stew Peters Show» pour partager des informations sur les protocoles hospitaliers draconiens du coronavirus de Wuhan (COVID-19) qui aggravent l'état de son mari atteint de cancer.

« Le mari de Heineck lutte actuellement contre un cancer de stade quatre. Il aurait cependant une bien meilleure chance en ce moment, si ce n'était les politiques adoptées par le ministère de la Santé du Mississippi qui ont causé des retards de près de deux mois dans son traitement. Heineck dit que son mari est sur le point de mourir non pas à cause de son cancer de stade quatre ou du COVID-19, mais à cause de toutes ces politiques COVID qui sont toujours en place et empêchent un traitement efficace », a déclaré l'animateur du programme Stew Peters.

Heineck a ensuite parlé de l'épreuve qu'elle et son mari ont subie dès qu'ils ont cherché un traitement médical. Malgré son diagnostic potentiel de cancer, le mari de Heineck devait toujours passer un test COVID-19 car cela était nécessaire avant de pouvoir être transféré dans un hôpital doté d'une unité d'oncologie.

"Il s'est avéré qu'il avait été testé positif malgré l'absence de symptômes cliniques. Il n'avait pas de fièvre, pas de toux à ce moment-là, rien de tout ça. Même après ses quelques jours d'hospitalisation, il n'a jamais montré ces signes », a-t-elle déclaré.

Le résultat positif du test COVID-19 signifiait que son mari devait s'isoler, ce qui signifiait qu'ils ne pouvaient pas voir un oncologue ni participer à aucune procédure de traitement du cancer pendant 10 jours. Heineck est restée COVID-négative tout au long, tandis que son mari a terminé la période de quarantaine et a réussi à voir un oncologue le 26 janvier. Mais même s'il avait fini sa période d'isolement et s'était déjà rétabli, avec un résultat de test négatif, il était toujours étiqueté comme COVID- positif dans le système .

Heineck a déclaré à Peters : « Il y a eu un problème, et ils n'ont pas pu enlever son étiquette de "positif au Covid" . Ma préoccupation était: qu'on puisse lui donner les mauvais médicaments … alors qu'il faut traiter le cancer et qu'il garde cette étiquette ." Ils ne peuvent pas l'enlever, ils ne savent pas d'où ça vient. Tout ce qu'ils pouvaient faire était d'entrer la date à laquelle il avait été testé positif au COVID. Ils ne pouvaient pas l'enregistrer comme guéri. (Connexe: Stew Peters dénonce la violence médicale dans le système hospitalier – Brighteon.TV .)

Le sang de personnes vaxxées fait plus de mal que de bien

Le mari de Heineck n'a pas reçu d'injection du vaccin COVID-19. Malgré cela, il souffrait de réactions graves similaires à celles observées chez les personnes vaccinées – des caillots sanguins au premier rang – et dues aux transfusions sanguines qu'il subissait.

Selon Heineck, les personnes injectées avec le vaccin COVID-19 sont autorisées à donner du sang . C'est ce qu'elle a appris de deux fournisseurs de sang. « Ils acceptent le sang de donneurs vaccinés. L'un des services l'accepte pour quelqu'un qui n'a pas eu de fièvre depuis 24 heures s'il a eu le COVID-19.

Son mari a reçu 22 unités de sang depuis le 10 janvier. Étant donné qu'une partie provenait de personnes vaccinées, son oncologue lui a découvert un problème auto-immun .

« Il y a quelque chose d'autre qui ne va pas. Quand ils essaient de prélever son sang pour faire des tests de laboratoire, il est tellement coagulé que c' est même inquiétant. C'est comme s'ils ne pouvaient même pas l'extraire de ses veines. Ils obtiennent des caillots de sang qu'ils ont dû jeter avant de refaire plusieurs autres prélèvements .

L'histoire de Heineck sur la coagulation du sang devenue solide , ressemble à ce que l'embaumeur Richard Hirschman a découvert. Le directeur de ce funérarium certifié par le conseil , a noté avoir vu des artères et des veines se boucher avec de longs caillots fibreux . Les coagulations chez les personnes décédées qui ont reçu une injection du vaccin COVID-19 ne ressemblaient à rien de ce qu'il avait jamais vu auparavant au cours de plus de deux décennies de travail d'embaumeur, a déclaré Hirschman.

L'embaumeur a déclaré à l'animatrice de Brighteon.TV , le Dr Jane Ruby, qu'il avait vu le phénomène pour la première fois à la mi-2021 et que cela était depuis devenu de plus en plus répandu dans les corps qu'il manipulait.

Regardez la conversation entre Stew Peters et Wendy Heineck ci-dessous.

Cette vidéo provient de la chaîne High Hopes sur Brighteon.com .