TOUS VACCINES …. POUR RIEN
Le parlement européen reconnait le statut de cobaye et en France la chenille redémarre
Le parlement européen reconnait le statut de cobaye, en participant à un « essai » sur les nouvelles formes d’injections on vous promet une carotte, même contagieux vous aurez le futur pass. En France tout est prêt pour réinjecter…On peut donc s’attendre à une nouvelle vague de rappels et de décès.
- TOUS VACCINES …. POUR RIEN
Les douze mois qui viennent de s’écouler constituent une période plus meurtrière que l’année 2020. Le nombre de décès covid a augmenté de 40% (40 000). Pourtant au cours de cette période les Français se sont fait injecter à 90% avec un ou deux rappels pour 70% des adultes. A ce jour 20% de la totalité de la population (enfants compris) ne sont pas injectés
L’inefficacité des boosters est évidente pour les populations fragiles (plus de 60ans ) Pour les 60-79 ans début juin 7.3 % de non vaccinés dans la population 10.3% des hospitalisations 12% des soins critiques 8.7% des décès
Ile de France début juin , 31 entrée en soins critiques 2 non vaccinés. En plus au moins un des 2 ventilés (de statut inconnu et mis en non vax) car 0.16 + 1.6 +0.25.
Les statistiques de Oneworld in data (lanceuse d’alerte Felicittina) montrent elles aussi l’incroyable inefficacité
2 LES COBAYES SONT RECOMPENSES
Le texte adopté par le Parlement européen est une merveille, les cobayes participants à des essais sur les futurs vaccins seront considérés comme vaccinés même si le futur vaccin est inefficace et dangereux , même s’ils ne reçoivent qu’un placebo….Et ce jusqu’au refus de mise sur le marché
Compte tenu notamment de l’apparition de nouveaux variants préoccupants du SARS-CoV-2, la poursuite du développement et de l’étude des vaccins contre la COVID-19 est un facteur crucial dans la lutte contre la pandémie de COVID-19. Dans ce contexte, il importe de faciliter la participation de volontaires aux essais cliniques, c’est-à-dire aux études réalisées pour évaluer la sécurité ou l’efficacité d’un médicament, tel qu’un vaccin contre la COVID-19. La recherche clinique joue un rôle fondamental dans la mise au point de vaccins et il convient dès lors d’encourager une participation volontaire aux essais cliniques. Empêcher les participants aux essais cliniques d’obtenir des certificats de vaccination pourrait constituer un élément dissuasif majeur en ce qui concerne la participation à de tels essais, ce qui retarderait la conclusion de ces essais et nuirait plus globalement à la santé publique. En outre, il convient de préserver l’intégrité des essais cliniques, y compris en ce qui concerne les procédures d’insu et la confidentialité des données, afin de garantir la validité de leurs résultats. Les États membres devraient dès lors avoir la possibilité de délivrer des certificats de vaccination aux participants aux essais cliniques qui ont été approuvés par les comités d’éthique et les autorités compétentes des États membres, indépendamment de la question de savoir si le participant a reçu le candidat vaccin contre la COVID-19 ou, afin d’éviter que les études ne soient compromises, la dose administrée au groupe témoin.
En outre, il est nécessaire de préciser qu’il devrait être possible pour d’autres États membres d’accepter les certificats de vaccination délivrés pour des vaccins contre la COVID-19 faisant l’objet d’essais cliniques afin de lever les restrictions à la libre circulation mises en place, conformément au droit de l’Union, en réaction à la pandémie de COVID-19. La durée d’acceptation de tels certificats de vaccination ne devrait pas être supérieure à celle des certificats délivrés sur la base de vaccins contre la COVID-19 pour lesquels une autorisation de mise sur le marché a été délivrée en vertu du règlement (CE) nº 726/2004 du Parlement européen et du Conseil
3 LA CHENILLE REDEMARRE
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