Au commencement, c'était déjà le bordel !
De : https://rodlediazec.blogspot.com/
Louis-Ferdinand Céline
L’U.E.
se désintègre et nous avec. Ce qui devait être le Continent des utopies
devient un champ de ruines. Bâtie sur du vent par des tiers qui ne
voulaient pas la voir s’épanouir, elle n’a pas résisté à la guerre
programmée en Ukraine. Choc échafaudé par des forces souterraines
pendant que les peuples pensaient vivre en Bisouland.
On se souvient qu’on nous avait vendu ce projet multinational pour que « jamais plus l’Europe ne revive les atrocités du passé » ! Nous avions pourtant voté contre, parce que nous sentions l’enfumage, mais la loi du plus fort…
Les
hommes de paille parachutés à la tête des pays, désignés comme on tire
les boules du loto, pour des missions de destruction massive, nous
détestent autant qu’ils haïssent les pays qu’ils dirigent. Le remords ne
fait pas partie du bagage empathique que tout humain porte en lui en
venant au monde. Ils sont le matériau avec lequel on bâtit les geôles,
on brûle les innocents, on incinère des valeurs millénaires, on
mitraille le « bétail » et on achève les survivants !
Enième
exemple du délitement de cette U.E. préfabriquée vient de se produire
avec Zelenski. Aussi étrange que cela paraisse, l’amuseur de Kiev se
pose comme le chef naturel de l’U.E. (ses désirs sont des ordres), alors
que l’Ukraine n’en fait pas partie, distillant des directives sur la
marche à suivre face à la Russie, ainsi que sur l’attitude à observer
sur les ressortissants Russes faisant du tourisme dans les pays
européens. Il faut les punir, les renvoyer d’où ils viennent. Les
humilier ! Et pourquoi ne pas ouvrir des camps de concentration avec des
chambres à gaz pour s’en débarrasser !
Pour
commencer, l’Allemagne, grande puissance continentale s’il en est,
voyant l’hiver se pointer à grands coups de raquettes à neige, a dit Nicht aux exhortations du comique ukrainien ! L’Espagne et le Portugal, malgré une météo moins austère, unissant la mélancolie du Fado à celle du Cante jondo,
ont exprimé une fin de non-recevoir tout aussi ferme jetant un coup de
givre à l’édifice babélien d’une institution déboussolée, jouant du
silence comme d’une arme de précision, sur des faits aussi criants que
la torture pratiquée dans le Donbass depuis de nombreuses années, aussi bien par les bataillons de représailles ukrainiens que par « la frange néonazie et bandériste », ainsi
que par le Service de sécurité d’Ukraine, le SBU, police politique,
dont les actes de torture n’ont d’égal que le mutisme des médias et la
discrétion des « humanitaires » qui guident nos consciences par tous les temps !
Et
la France dans tout ça ? Comme souvent depuis la disparition de son
dernier grand homme d’Etat, Charles de Gaulle, on la trouve en rase
campagne, le pouce en l’air, les pieds dans la fange, attendant l’aide
d’un hypothétique « bon samaritain », recevant une fiente de
pigeon sur le haut du crâne et ne trouvant pas de gendarmerie pour y
déposer plainte ! Les deux arpions bien enfoncés dans le même sabot,
notre « Chef de guerre », Emmanuel Macron, qui n’a pas fait son
service militaire, engoncé dans un treillis cousu à la diable par un
Jean-Paul Gaultier sous psychotrope, a la volonté d’envoyer le peuple au
casse-pipe !
Pérorant,
auprès de qui ne l’écoute pas, sur le rayonnement guerrier de la France
du temps des guerres napoléoniennes, rêvant en bon Gamelin, à ce mot
définitif que l’histoire nous ramène : « De victoire en victoire jusqu’à la défaite finale ! »,
dans sa version LGBTQIA+. Répétant dans ce coin de campagne isolé, le
pouce toujours levé, des bribes de son prochain discours sur le rôle
culturel de la France dans le monde moderne (tous à genoux !), sur le
siècle d’or des Lumières qui en furent, et sur cette Grandeur que nous
avons cédé pour une bouchée de pain à des usuriers à qui nous avons
tendu la main quand ils en avaient besoin et qui aujourd’hui nous
enfoncent la dague dans le cœur.
Désormais,
on ne peut plus le taire, guerre, pénurie et vaccin sont clairement les
armes avec lesquelles le totalitarisme prend ses aises dans cette
partie du monde.
Soyez les bienvenus aux pays de la guerre qui ne sont pas en guerre !
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