Au commencement, c'était déjà le bordel !

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« Ce monde n'est qu'une immense entreprise à se foutre du monde. »
 
Louis-Ferdinand Céline 

L’U.E. se désintègre et nous avec. Ce qui devait être le Continent des utopies devient un champ de ruines. Bâtie sur du vent par des tiers qui ne voulaient pas la voir s’épanouir, elle n’a pas résisté à la guerre programmée en Ukraine. Choc échafaudé par des forces souterraines pendant que les peuples pensaient vivre en Bisouland.
On se souvient qu’on nous avait vendu ce projet multinational pour que « jamais plus l’Europe ne revive les atrocités du passé » ! Nous avions pourtant voté contre, parce que nous sentions l’enfumage, mais la loi du plus fort…

Les hommes de paille parachutés à la tête des pays, désignés comme on tire les boules du loto, pour des missions de destruction massive, nous détestent autant qu’ils haïssent les pays qu’ils dirigent. Le remords ne fait pas partie du bagage empathique que tout humain porte en lui en venant au monde. Ils sont le matériau avec lequel on bâtit les geôles, on brûle les innocents, on incinère des valeurs millénaires, on mitraille le « bétail » et on achève les survivants !

Enième exemple du délitement de cette U.E. préfabriquée vient de se produire avec Zelenski. Aussi étrange que cela paraisse, l’amuseur de Kiev se pose comme le chef naturel de l’U.E. (ses désirs sont des ordres), alors que l’Ukraine n’en fait pas partie, distillant des directives sur la marche à suivre face à la Russie, ainsi que sur l’attitude à observer sur les ressortissants Russes faisant du tourisme dans les pays européens. Il faut les punir, les renvoyer d’où ils viennent. Les humilier ! Et pourquoi ne pas ouvrir des camps de concentration avec des chambres à gaz pour s’en débarrasser !

Pour commencer, l’Allemagne, grande puissance continentale s’il en est, voyant l’hiver se pointer à grands coups de raquettes à neige, a dit Nicht aux exhortations du comique ukrainien ! L’Espagne et le Portugal, malgré une météo moins austère, unissant la mélancolie du Fado à celle du Cante jondo, ont exprimé une fin de non-recevoir tout aussi ferme jetant un coup de givre à l’édifice babélien d’une institution déboussolée, jouant du silence comme d’une arme de précision, sur des faits aussi criants que la torture pratiquée dans le Donbass depuis de nombreuses années, aussi bien par les bataillons de représailles ukrainiens que par « la frange néonazie et bandériste », ainsi que par le Service de sécurité d’Ukraine, le SBU, police politique, dont les actes de torture n’ont d’égal que le mutisme des médias et la discrétion des « humanitaires » qui guident nos consciences par tous les temps !

Et la France dans tout ça ? Comme souvent depuis la disparition de son dernier grand homme d’Etat, Charles de Gaulle, on la trouve en rase campagne, le pouce en l’air, les pieds dans la fange, attendant l’aide d’un hypothétique « bon samaritain », recevant une fiente de pigeon sur le haut du crâne et ne trouvant pas de gendarmerie pour y déposer plainte ! Les deux arpions bien enfoncés dans le même sabot, notre « Chef de guerre », Emmanuel Macron, qui n’a pas fait son service militaire, engoncé dans un treillis cousu à la diable par un Jean-Paul Gaultier sous psychotrope, a la volonté d’envoyer le peuple au casse-pipe !

Pérorant, auprès de qui ne l’écoute pas, sur le rayonnement guerrier de la France du temps des guerres napoléoniennes, rêvant en bon Gamelin, à ce mot définitif que l’histoire nous ramène : « De victoire en victoire jusqu’à la défaite finale ! », dans sa version LGBTQIA+. Répétant dans ce coin de campagne isolé, le pouce toujours levé, des bribes de son prochain discours sur le rôle culturel de la France dans le monde moderne (tous à genoux !), sur le siècle d’or des Lumières qui en furent, et sur cette Grandeur que nous avons cédé pour une bouchée de pain à des usuriers à qui nous avons tendu la main quand ils en avaient besoin et qui aujourd’hui nous enfoncent la dague dans le cœur.

Désormais, on ne peut plus le taire, guerre, pénurie et vaccin sont clairement les armes avec lesquelles le totalitarisme prend ses aises dans cette partie du monde.

Soyez les bienvenus aux pays de la guerre qui ne sont pas en guerre !



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