« Marie Cau » , un homme pas content de l'être
De : https://www.naturalnews.com/2023-05-19-french-author-criminal-charges-misgendering-male-mayor.html
Un auteur français populaire fait face à des accusations criminelles pour avoir «maltraité» un maire souffrant de dysphorie de genre en l'appelant «un homme» - ce qu'il EST
Vendredi 19 mai 2023 par : Ethan Huff
Dora Moutot, auteure française à succès, féministe et influente des médias sociaux, est poursuivie en justice pour le "crime" présumé d'avoir "trompé" deux transgenres sur la base de leur sexe biologique réel.
Le maire de Tilloy-lez-Marchiennes « Marie Cau », un homme qui se fait maintenant passer pour une femme, et Hanneli Escurier, une journaliste qui se fait passer pour un homme, sont tous les deux mécontents de Moutot pour les avoir appelés ce qu' ils sont réellement, plutôt que ce qu'ils prétendent être.
Les deux dérangés mentaux poursuivent Moutot avec le soutien de Mousse et SOS Homophobie, deux organisations LGBT qui croient apparemment que les gens devraient être punis pour avoir refusé de jouer à faire semblant à la demande avec les pronoms de genre inventés par d'autres personnes.
L'un des incidents s'est produit lorsque Moutot a été interrogé par la journaliste Léa Salamé dans le populaire talk-show français Quelle Époque! lui demandant si elle considérait le maire Cau comme une femme. Moutot a répondu: "Pour moi, Marie Cau est un homme."
Mousse a répondu à cette déclaration en accusant Moutot d'avoir "violemment attaqué" Cau en le qualifiant à la fois d'homme, ce qu'il est, et d'"homme transféminin".
Cau, dont le nom naturel est Nicolas, a été élu à un poste politique en 2020 et célébré par les médias contrôlés par les mondialistes comme le premier maire transgenre de France. La petite ville dont il est maire compte environ 500 habitants et Cau espère éventuellement se présenter à la présidence en France.
(En relation: En Californie, certains militants et politiciens de gauche veulent punir les pasteurs qui refusent d'utiliser des «pronoms de genre» et promeuvent la perversion transgenre.)
Au Royaume-Uni, en Grèce, en Norvège et maintenant en France, il suffit de fausses accusations de transsexuelles dérangées pour déclencher des poursuites pénales
L'autre "délit" de Moutot a eu lieu le 25 août 2022, lorsqu'elle a qualifié Escurier de "femme trans-identifiée". La plainte légale déposée contre elle pour cette référence allègue que « femme trans-identifiée » est un terme offensant visant à inciter à la haine ou à la violence.
Escurier, quant à lui, a dénigré à plusieurs reprises de vraies femmes en les qualifiant de «TERF», un terme péjoratif, et a également «menacé de blesser physiquement Moutot elle-même lors d'un événement drag en 2020 qui s'est tenu dans un club à Paris».
Moutot a répondu à cette menace en qualifiant Escurier de "femme trans-identifiée", et maintenant Moutot est accusé de comportement criminel tandis qu'Escurier ne fait face à aucune accusation et continue de présenter sa maladie mentale comme une "identité de genre".
Non seulement en France mais aussi au Royaume-Uni, en Grèce et en Norvège, il suffit que de fausses accusations comme celles lancées contre Moutot par Cau et Escurier déclenchent des poursuites pénales. Les LGBT, à l'inverse, peuvent dire ce qu'ils veulent, quand ils le veulent, et ne subir aucune forme de punition.
Les transsexuels fragiles comme Cau et Escurier sont tellement « blessés » par les mots qu'ils se sentent obligés d'essayer de ruiner la vie des autres simplement pour les avoir prononcés. La fragilité transsexuelle devient rapidement l'une des plus grandes menaces existentielles pour les personnes normales partout, en particulier lorsque leurs sentiments sont inscrits dans la loi, comme cela semble se produire au Royaume-Uni, en France et dans d'autres parties de l'Europe.
"Je suis harcelée depuis près de quatre ans par des militants trans pour avoir dit qu'une femme est une femme humaine et non un sentiment", dit Moutot à propos des abus auxquels elle continue d'être confrontée de la part de transsexuelles dérangées et de leurs alliés.
"Ils m'envoient des insultes et des menaces, ils mettent mon adresse en ligne, et ils ont ruiné ma réputation en disant que je suis transphobe, et que je suis complice de l'extrême droite."
La vie et la carrière de Moutot sont menacées par ces mêmes transsexuelles, qui veulent qu'elle soit renvoyée .
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Les sources de cet article incluent :
"...Mousse a répondu à cette déclaration en accusant Moutot d'avoir "violemment attaqué" Cau en le qualifiant à la fois d'homme..."
RépondreSupprimerQuand on vit dans un monde de licorne et de fée, on a aucune idée de ce qu'est un attaque violente!!!
Vous vous êtes approchés des enfants, on vous a avertis de ne pas le faire.
C'était pour protéger les enfants, et indirectement vous protéger aussi!
Les prochains à vous avertir - ou à vous chasser comme des bêtes? - ce seront probablement ceux(immigrants, etc.) qui viennent des pays où on lancent les homosexuelles du 10e pour les voir s'écraser en bas.
Vous êtes prévenus!!!