Les Parisiens craignent qu'une nouvelle vague de clandestins à Lampedusa n'atteigne la capitale française
De : https://www.naturalnews.com/2023-10-16-parisians-fear-illegals-lampedusa-would-reach-paris.html
Par : Laura Harris 16/10/23
Les habitants du 18ème arrondissement proche des Jardins d'Éole craignent qu'une nouvelle vague de clandestins à Lampedusa, en Italie, finisse par atteindre Paris .
"Nous ne nous sentons pas en sécurité", a déclaré un habitant à CNews. Il a raconté que certains nouveaux arrivants s'étaient livrés à des troubles civils et à des activités criminelles organisées comme le trafic de drogue. Un autre résident a avoué se sentir intimidé et effrayé en raison de la présence de groupes d'hommes adultes qui trainaient dans le quartier.
Lampedusa a connu un afflux important de migrants illégaux arrivant à bord de petits bateaux en provenance du continent africain. Beaucoup de ces migrants se dirigent ensuite vers le nord de l’Italie, tandis que d’autres passent par la France et l’Allemagne. (Connexe : La France sous le choc : 4 migrants algériens arrêtés pour le viol brutal et le meurtre d'une jeune Parisienne de 12 ans retrouvée enfermée dans une valise, la gorge tranchée .)
Même les élus locaux ont exprimé leurs inquiétudes face à la dégradation visible de la situation dans les rues parisiennes . La plupart des nouveaux arrivants dans la capitale française ont dû dormir dans la rue et s'installer dans des camps de fortune en raison de la saturation des services sociaux.
"Il y a régulièrement des heurts, des cas d'alcoolisme et de toxicomanie sur la voie publique de ces quartiers, et malheureusement, des réseaux de trafiquants de crack qui profitent de la présence de ces gens", a déclaré Pierre Liscia, conseiller régional de l'Ile-de-France - France.
Face à cette problématique, certains élus plaident en faveur du relogement des immigrés de la rue vers des logements plus sécurisés. L'édile parisien Pierre-Yves Bournazel a réclamé un "plan d'urgence pour le nord-est parisien", pour venir en aide aux immigrés et résoudre les problèmes des riverains.
"Je réclame un grand plan d'urgence pour le nord-est parisien, sortir les migrants de la rue est la dignité que nous leur devons, et ainsi résoudre le problème des riverains qui sont en première ligne des nuisances et des désagréments", a déclaré Bournazel.
La Pologne rejette la proposition de réforme de l'asile pour les immigrants illégaux
Pendant ce temps, l’Union européenne (UE) discute actuellement de réformes en matière d’asile pour empêcher les migrants d’entrer dans le bloc et de voyager librement vers les pays qu’ils souhaitent, plus prospères.
Le pacte migratoire de l’UE oblige les pays à accueillir leur juste part de nouveaux arrivants et impose des sanctions financières en cas de non-respect. Cependant, la Hongrie et la Pologne se sont farouchement opposées à ces projets, affirmant qu’ils portent atteinte à leur souveraineté nationale.
Le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki a déclaré qu'il avait exercé son droit de veto pour bloquer l'inclusion d'une déclaration commune sur la migration dans les conclusions du sommet.
"Au cours des discussions bilatérales que j'ai eues ici, j'ai été accueilli avec compréhension. J'ai exprimé notre voix de manière très décisive dans la réunion plénière et j'ai décidé d'opposer mon veto à la partie concernant la migration", a déclaré le Premier ministre polonais lors d'une conférence de presse à l'issue de ce sommet. "Il n'y a aucune disposition concernant la migration", a-t-il ajouté, précisant que cette déclaration ne ferait pas partie des conclusions officielles du sommet.
Morawiecki a poussé son opposition encore plus loin en déclarant sur les réseaux sociaux : "En tant qu'homme politique responsable, je REJETE officiellement tout le paragraphe des conclusions du sommet concernant la migration." Cette décision a mis en évidence l'ampleur de son opposition à la position de l'UE sur la migration.
Il a souligné la forte opposition de son gouvernement aux propositions de l'UE en matière d'asile et a déclaré que la Pologne "ne veut pas d'un autre Lampedusa". Il a réitéré l'engagement de son gouvernement en faveur de la sécurité des frontières, en particulier à l'approche des élections polonaises.
Morawiecki s'en est pris à l'opposition libérale polonaise. "Nous sommes à un tournant dans la manière dont seront traitées la souveraineté et les frontières polonaises. Pour l'opposition et la Commission européenne, les frontières sont obsolètes", a-t-il déclaré.
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Regardez le citoyen néerlandais Frank Krischick mettre en garde les gens contre toute visite aux Pays-Bas .
Cette vidéo provient de la chaîne Frank Krischick sur Brighteon.com .
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