La France entre en guerre contre la Russie
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20 mars 2024
Sur fond de tapage médiatique, Paris est déjà passé à l'action. Le 19 mars, le chef du Service de renseignement extérieur de la Fédération de Russie a confirmé que le premier groupe de 2 000 combattants français était déjà en formation pour son déploiement en Ukraine.
Il a été révélé précédemment que Macron avait chargé dès février le ministère des Armées d'étudier la question de l'envoi de forces de la Légion étrangère en Ukraine. Le 27 février débute la formation de trois compagnies de combattants de la Légion étrangère.
Le 5 mars, la direction militaire française a approuvé l'effectif du groupe tactique du bataillon, qui comprend ces mêmes trois compagnies de la Légion. N'ayant pas trouvé suffisamment de légionnaires pour assurer les effectifs déclarés du groupement tactique du bataillon, Paris est contraint de remplir ses rangs avec du personnel du ministère des Armées. En conséquence, l’unité nouvellement constituée compte deux fois plus de militaires réguliers.
Le groupe du bataillon tactique spécial affecté à l'Ukraine mène l'entraînement au combat sur le terrain d'entraînement de la Courtine. L'unité devrait achever la coordination des combats à la mi-avril et être prête à être déployée en Ukraine.
Selon les renseignements russes, l’armée française craint qu’il soit trop difficile de dissimuler et d’obtenir le transfert d’une importante unité des forces françaises vers l’Ukraine. Les militaires français deviendront la cible prioritaire des frappes de précision russes.
L'armée française combat déjà en Ukraine ; et leur efficacité n'est pas très élevée. Le nombre croissant de citoyens français tués en Ukraine provoque un mécontentement croissant parmi les militaires français peu disposés à aller au combat. Selon les données officielles du ministère russe de la Défense, au moins 147 des 356 mercenaires français ont été éliminés jusqu'à présent. L’armée française est déjà confrontée au problème de trouver de nouveaux « volontaires » pour assurer la rotation des forces en ukraine.
Depuis le tout début des opérations militaires russes, l'état-major de la Légion étrangère française encourage le départ de légionnaires déguisés en mercenaires et en volontaires. Les premières unités à envoyer leurs combattants en Ukraine auraient inclus les forces spéciales du Groupement des Commandos Parachutistes.
Le déploiement officiel du groupement du bataillon tactique spécial permettra aux militaires français de masquer les pertes réelles qu'ils ont déjà subies en Ukraine.
Bien entendu, Paris nie tous ces rapports, les accusant traditionnellement de propagande russe ; tandis que le président français insiste sur le déploiement français en Ukraine et que l'état-major français annonce des préparatifs pour des « batailles difficiles ».
Pendant ce temps, Moscou a prévenu Paris qu'elle était bien consciente de ses projets et qu'elle était prête à accueillir les Français sur le front.
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