La guerre psychologique sert à nous soumettre à leur agenda
De : https://expose-news.com/2024/03/15/psychological-warfare-used-to-make-us-submissive/
Par Rhoda Wilson 15 mars 2024
Jour après jour, les preuves qui s’accumulent font qu’il est plus difficile de s’accrocher à l’idée naïve selon laquelle les bouleversements qui caractérisent notre époque ne sont que de simples coïncidences naturelles.
Il existe une campagne délibérée visant à semer la peur et à nous manipuler en utilisant la guerre psychologique. L’objectif est de nous priver de notre capacité à penser, ressentir et agir librement. Saper l’autonomie individuelle, la pensée critique et la moralité. Pour nous rendre soumis à leur agenda.
Diverses techniques sont utilisées pour influencer nos pensées et nos choix, notamment la dépendance à la technologie, notamment chez les enfants. Les plateformes de médias sociaux sont conçues pour contrôler et influencer ce que les gens pensent et disent. Les plateformes telles que Telegram deviennent des foyers de confusion et de contrôle.
Tout est une PsyOp
Par A Lily Bit
Il devient de plus en plus clair que nous sommes au centre d'une campagne délibérée visant à semer la peur, non pas par hasard, mais par une manipulation minutieuse, dans le but non seulement de nous alarmer mais aussi de nous rendre impuissants par divers moyens artificiels.
Au cœur de ce désordre délibéré se trouve l’outil choisi par l’élite : la guerre psychologique. Cette tactique va au-delà du conflit physique, visant à pénétrer le psychisme et à dégrader systématiquement l’esprit humain.
La bataille ne porte pas sur la terre ou les ressources, mais sur l’essence de ce qui fait de nous des humains : notre capacité à penser, ressentir et agir librement. L’objectif de l’élite est d’une simplicité troublante : vider l’individu de sa coquille, en lui laissant une coquille vide tout en lui ôtant son âme.
Ils emploient toute une gamme de techniques pour influencer nos pensées et nos choix, nous obligeant sans le savoir à nous conformer à leur sombre programme.
La guerre conventionnelle n’est qu’une diversion, une préoccupation secondaire par rapport à l’assaut psychologique généralisé destiné à nous soumettre, non pas par la force, mais en abandonnant notre force intérieure.
La prolifération des nouvelles technologies et des appareils intelligents, notamment les jeux, les films et divers gadgets, conduit à une dépendance à ces produits. Cette dépendance remplace ou diminue les facultés mentales des utilisateurs telles que la mémoire, l'attention, la concentration et la créativité.
Les enfants, par exemple, optent pour les vidéos plutôt que pour la lecture, consommant souvent des contenus qui ne sont peut-être pas appropriés ou éducatifs.
Au fil du temps, non seulement cela abrutit la population, la rendant plus ignorante et dépendante du système dont elle fait involontairement partie, mais cela la transforme également en accros à ce système même.
Les plateformes de médias sociaux sont conçues avec un objectif principal : contrôler et influencer ce que les gens disent et pensent, en particulier ceux qui ont des opinions dissidentes.
Les médias alternatifs, comme Telegram, deviennent des foyers de contrôle et de confusion pour ceux qui cherchent à échapper à cette manipulation. De plus, les jeunes sont de plus en plus influencés par des « influenceurs », dont beaucoup promeuvent des comportements superficiels ou nuisibles, façonnant davantage les actions et les pensées d’un public impressionnable.
Enfin, une stratégie clé dans cette manipulation consiste à semer la peur et l’anxiété dans la population en inventant ou en exagérant des menaces, comme les maladies. Ces menaces peuvent être complètement fabriquées ou considérablement exagérées, créant confusion et peur.
Cette campagne de peur est souvent utilisée pour justifier de nouvelles interventions médicales, de nouveaux vaccins ou la justification de conflits, enracinant encore davantage la population dans un cycle de dépendance et de manipulation par ceux qui sont au pouvoir.
La terminologie employée par ce qu’on appelle l’État profond reflète une profonde compréhension des dimensions psychologiques et mentales du contrôle et de l’influence humains. Ils reconnaissent l’immense pouvoir qu’exercent l’esprit et l’esprit, un pouvoir qui est au cœur de leur utilisation de l’occultisme.
Ces traditions soulignent la croyance en la capacité de l'esprit à manifester la réalité et à tromper les individus en les faisant accepter les illusions comme des vérités. Voici quelques termes clés qui résument leurs méthodes et leurs objectifs :
- Persuader : Convaincre les individus d’adopter certains points de vue ou actions qui correspondent à leur programme.
- Influence : façonner les pensées, les comportements et les décisions des gens de manière subtile mais efficace.
- Changement : modifier les perceptions et les attitudes pour garantir qu'elles correspondent aux récits souhaités.
- Divertir : capter l'attention des masses grâce à des distractions, les garder préoccupés et éloignés de la pensée critique.
- Se conformer : encourager l'obéissance et la soumission à leurs directives sans poser de questions.
- Distraire : détourner l'attention de questions ou de vérités importantes par divers moyens de divertissement ou de désinformation.
- Accepter : Favoriser un sentiment de résignation ou d’acceptation envers certaines idéologies, normes ou conditions.
- Effrayer : Utiliser la peur comme outil pour manipuler les émotions et les réactions, souvent pour justifier des mesures de contrôle.
- Engager : garder les individus activement impliqués ou occupés avec du contenu ou des récits qui servent leurs objectifs.
- Embrasser : Encourager l’acceptation sans réserve de certaines croyances, technologies ou changements qui renforcent leur contrôle.
- Haine : susciter des émotions d'animosité et de division pour affaiblir les liens sociétaux et favoriser les conflits.
- Diviser : Fragmenter les communautés et les sociétés en factions opposées pour affaiblir la résistance et la compréhension collectives.
Le récit autour de l’État profond et de son utilisation de diverses plateformes et influenceurs pour manipuler le public repose sur l’idée qu’un large éventail d’émotions et d’états d’esprit négatifs sont délibérément favorisés au sein de la société.
Cette manipulation s'étend au travers du divertissement, des médias sociaux et des tendances culturelles, visant à influencer des groupes particulièrement vulnérables tels que les jeunes.
Les influenceurs, comme on le voit sur des plateformes comme YouTube, jouent un rôle important à cet égard en promouvant des contenus qui peuvent nuire au développement des enfants et des jeunes adultes. Ce contenu glorifie souvent des comportements et des idéologies antisociaux, nuisibles ou moralement discutables.
L’argument suggère que ces influenceurs ne se contentent pas de partager leur vie ou leurs intérêts, mais participent activement à un programme plus large visant à dégrader les valeurs et les normes sociétales.
Les jeux vidéo sont cités comme exemples de médias qui récompensent les comportements négatifs, tels que le vol et la violence, contribuant ainsi à la prétendue stratégie globale de dégradation morale et éthique.
En s'engageant dans ces jeux, les gens, en particulier les jeunes, pourraient être plus susceptibles d'adopter les comportements et les attitudes décrits, remplissant ainsi le prétendu objectif de conduire la société loin des activités constructives et vers le chaos et la discorde.
Les différentes formes de médias et d’influence ne sont pas des phénomènes isolés mais des outils interconnectés utilisés par ceux qui sont au pouvoir pour façonner la conscience publique de manière à saper l’autonomie individuelle, la moralité et la pensée critique.
L'inquiétude quant à l'impact de la technologie moderne et des médias sociaux sur les jeunes est largement répandue et touche à des questions allant de la toxicomanie et de la santé mentale à la vie privée et à la sécurité.
L’utilisation des médias sociaux, en particulier des plateformes comme TikTok, a entraîné une prolifération de tendances et de défis, dont certains ont eu des conséquences dangereuses, voire fatales. Ces plateformes, tout en offrant des moyens sans précédent de se connecter et de partager, présentent également des risques, en particulier pour les utilisateurs plus jeunes et plus impressionnables.
Le phénomène du « gang-stalking » ou des campagnes coordonnées de harcèlement en ligne constitue un problème sérieux. Les individus peuvent se retrouver ciblés par des groupes, recevant des messages menaçants ou humiliants pouvant avoir un impact significatif sur leur bien-être mental.
Ces actions sont souvent anonymes, exploitant le voile d'anonymat d'Internet pour éviter les répercussions. L'effet psychologique d'un tel harcèlement peut être profond, affectant l'humeur, la motivation et la santé mentale globale des individus.
De nombreuses agences de renseignement exploitent des fermes de hackers, employant des individus dans le monde entier pour entreprendre diverses tâches. Ils entrent soudainement dans la vie des individus, les incitant à se comporter de la manière souhaitée.
De plus, le paysage numérique est fortement influencé par l’intelligence artificielle et les algorithmes, qui déterminent la visibilité et la popularité du contenu et des influenceurs. Ces gardiens du numérique, ou « gardiens de la forêt », promeuvent souvent des contenus insignifiants ou préjudiciables, contribuant ainsi à une culture de distraction et de superficialité.
La prolifération d’Internet, des appareils intelligents et de diverses interventions modernes, notamment lors d’événements sociaux et politiques, est la manifestation d’une stratégie plus vaste visant à manipuler la conscience publique.
Sans la distraction et la conformité généralisées évoquées par des personnalités comme Lord Jacob Rothschild, aucun de ces développements n’aurait été possible. Le but ultime d’une telle manipulation est de façonner les perceptions et les croyances, en orientant la société dans des directions qui servent des intérêts et des programmes spécifiques.
A propos de l'auteur
A Lily Bit se décrit comme un ancien agent du renseignement analysant la Grande Réinitialisation, la Quatrième Révolution Industrielle, la propagande, le totalitarisme, les récits actuels, la psychologie et l'histoire. Vous pouvez vous abonner et suivre A Lily Bit sur Substack ICI .
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