Qui pousse à nouveau l'Allemagne à la guerre ?

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Comment trois généraux allemands haut gradés ont-ils eu l'idée de discuter de la destruction du pont de Crimée avec des missiles allemands de type Taurus ? Cela constitue un délit au regard de la Loi fondamentale allemande. Dans quelle mesure l'ambassadrice américaine a-t-elle fait intervenir les intérêts américains dans cette affaire ? En raison des interventions américaines, l'Allemagne et toute l'Europe se trouvent sur la voie de la guerre si la population n'y met pas un terme. 




Les médias dominants en ont fait le « scandale des écoutes téléphoniques » et ont ainsi totalement détourné l'attention du véritable danger de guerre. Heiko Schöning, médecin ET officier de réserve de la Bundeswehr, montre dans cette émission les liens entre les généraux de la Bundeswehr et l'administration américaine, et leurs intérêts






[Porte-parole femme :] Le rapport-Schöning d'aujourd'hui portera principalement sur trois sujets d'actualité. Le premier est la planification d'une guerre d'agression par des officiers de l'armée fédérale allemande. Le deuxième concerne deux personnes : Ingo Gerhartz et Amy Gutmann. Et le troisième est la tentative d'empêcher le discours d’Heiko Schöning le 10 mars 2024 à Berlin lors de la manifestation pour la paix. Une conversation avait été interceptée, ce qui a été perçu ou communiqué dans les médias comme le « scandale des écoutes téléphoniques Taurus ». De quoi s'agissait-il ? 
[Heiko Schöning :] En fait, et cela doit faire la Une, il s'agit de la planification d'une guerre d'agression. Et les guerres d'agression sont interdites. Le 19 février 2024, une conversation sur la planification d'une guerre d'agression a eu lieu, et ce par des généraux de la Bundeswehr allemande. Notamment le chef de l'armée de l'air allemande, le lieutenant-général Ingo Gerhartz. Donc le général Gerhartz et le général Gräfe et deux autres ont concrètement planifié le bombardement d'un pont étranger. Et malheureusement, le pont, de par sa taille, ressemble à un aérodrome. Cela signifie qu'il se peut très bien qu’on ait besoin de 10 ou 20 missiles pour cela. Et c'est la préparation d'une guerre d'agression. Et selon la Loi fondamentale, article 26, paragraphe 1, – j'en ai une ici, en petit format – les actes qui sont de nature à troubler la coexistence pacifique des peuples et qui sont entrepris dans l'intention de préparer notamment la conduite d'une guerre d'agression sont anticonstitutionnels. Ils doivent être punis. Donc l'article 26, garantie de la paix, dit très clairement qu'on ne doit pas planifier une guerre d'agression, que cela doit être puni. Et ce que le général Gerhartz ont planifié avec les trois autres officiers supérieurs de l'armée allemande, c'est de bombarder concrètement un pont étranger avec des missiles allemands de type Taurus. Peu importe de quels missiles il s'agit et comment ils s’appellent. Ce qui est important c'est qu’avec ce pont, c’est la planification d'une guerre d'agression. C’est exactement comme si un autre pays étranger voulait bombarder les ponts sur l'Elbe près de Hambourg ou de Dresde, ou les ponts sur le Rhin près de Cologne ou de Düsseldorf. Et la planification concrète, car cette conversation pour la planification a duré environ 40 minutes, ça a également été confirmé, ça n'a pas non plus été démenti, ça s'est effectivement passé ainsi. Et je m'en suis convaincu moi-même. Je ne suis pas seulement médecin, j'ai aussi un brevet d'officier, je suis aussi officier de réserve de la Bundeswehr. Cela signifie que d'un point de vue professionnel, je ne peux que confirmer tout cela. Et c'est le point. Et cela doit être sanctionné. Et c'est aussi ce que nous avons dit après que cela soit sorti le 1er mars : Nous allons rapidement faire une manifestation et je vais annoncer que je vais porter plainte contre les généraux, en particulier contre le général Gerhartz. Car c'est un délit. 
[Porte-parole :] Oui, sans aucun doute. Est-ce qu'en tant qu'officier de la Bundeswehr, on arrive à avoir ce genre de conversation ? Qu'est-ce qui aurait pu se cacher derrière ? Et qui est ce Gerhartz pour pouvoir au moins discuter d'une telle planification ? 
[Heiko Schöning :] Oui, donc le général Gerhartz, plus précisément le lieutenant-général Ingo Gerhartz, est encore un officier relativement jeune pour son poste. Il est le chef de l'armée de l'air allemande. Il y a l'armée de terre, la marine, l'armée de l'air et des unités subordonnées. Il est donc l'un des plus hauts généraux d'Allemagne. Et lui, il a planifié ça avec les autres généraux. Et comme l'Allemagne est également impliquée dans l'OTAN et que les États-Unis sont bien sûr la puissance dirigeante, et pas seulement au sein de l'OTAN, il faut clairement se poser la question suivante : « Un général de la République fédérale d'Allemagne peut-il vraiment planifier concrètement la destruction d'un grand pont à l'étranger sans l'ordre ou le soutien des États-Unis ? » Certainement pas. Et là, je me suis bien sûr demandé qui était derrière tout ça ? Qui est la personne qui dirige le chef de l'armée de l'air ? 
[Porte-parole :] Qui est la personne qui dirige tout cela aux États-Unis ? 
[Heiko Schöning :] Oui, selon moi c'est à nouveau le schéma assez classique. C'est l'ambassadrice des États-Unis en Allemagne et son nom est Amy Gutmann. Amy Gutmann – mais écrit Gutmann. Et cette personne, oui, elle a des choses à se reprocher qui coïncident avec mes recherches médico-légales, donc des choses criminelles. Parce que cette femme n'est pas seulement ambassadrice des États-Unis, mais elle a aussi été présidente de la commission présidentielle de bioéthique. Cela signifie qu'elle a dans ce cadre participé à la décision sur l'admissibilité des armes biologiques. C'est Amy Gutmann. Elle est en Allemagne depuis un certain temps et elle a rencontré le général Ingo Gerhartz à plusieurs reprises. Nous montrerons peut-être des photos de ces rencontres. Et les deux ont une relation de travail assez étroite. Et il est vrai que ce poste qu'Amy Gutmann occupe ici en Allemagne, ce n'est pas seulement un poste diplomatique, mais et c’est bien prouvé depuis des décennies, c'est aussi un poste qui inclut des activités de renseignement. Et les ambassadeurs des États-Unis ont même sous leurs ordres une partie de la CIA dans le pays, c'est-à-dire les services secrets, la Central Intelligence Agency. Et aussi la branche, disons, civile, pas très connue de la CIA, l'USAID. Cette dernière s'occupe en fait, pour ainsi dire, de l'aide au développement. Mais c'est tout simplement une couverture pour la CIA. Et c'est ainsi depuis la guerre du Vietnam. Les organigrammes sont là pour qu'on sache que l'ambassadrice se trouve ici et qu'elle a sous elle la CIA, l'USAID et les autres services dans l'organigramme. Cela signifie que les ambassadeurs dans un pays sont un peu comme le leader. Et Ingo Gerhartz et Amy Gutmann se sont rencontrés plusieurs fois, ils se sont étroitement concertés. Nous pouvons le prouver. Et ce qui est vraiment plus menaçant selon moi, c'est qu'Amy Gutmann est effectivement aussi très active dans l'utilisation et la préparation d'armes biologiques. Et cela est effectivement prouvé par quelques articles, même des articles scientifiques. 
[Porte-parole :] Cela ne semble évidemment pas bon, surtout si la menace se rapproche maintenant de l'Allemagne qui s'implique. Et il est donc possible que ce soit l'Allemagne qui s'en charge parce que les Etats-Unis ne veulent pas se salir les mains. Est-ce possible ? 
[Heiko Schöning :] Oui, les États-Unis sont de l'autre côté de l'Atlantique. Et ici en Europe, c'est pour ainsi dire le conflit Allemagne-Russie, que personne dans la population allemande ne souhaite naturellement. Et la question est de savoir comment un tel événement est préparé, comment ça se passe. Et il y a dix ans exactement, on a pu voir et comprendre, c'est-à-dire depuis 2014, comment une personne très similaire à Amy Gutmann aujourd'hui a agi en Allemagne contre l'Ukraine, en Ukraine. [Porte-parole :] C'était alors l’attaque de Maïdan. 
[Heiko Schöning :] C'est vrai, c'était le coup d'État de Maïdan, donc le changement de régime, le changement par la force du gouvernement élu en Ukraine. Et depuis, nous avons vraiment tous ces problèmes, depuis 2014. Et cette personne s'appelle Victoria Nuland. 
[Porte-parole :] Cela signifie qu'il y a déjà eu dans le passé, il y a dix ans, un événement similaire qui a conduit à ce très gros foyer de conflit Ukraine/Russie, qui se déroule depuis lors ou qui était ou est assez actif. Et cela pourrait maintenant être répété ou se répéter. 
[Heiko Schöning :] Oui, de manière similaire, il faut le dire. 
[Porte-parole :] Et qu'en est-il de Mme Nuland ? 
[Heiko Schöning :] Oui, elle est… il y a aussi un parallèle. Il y a une dizaine d'années, une conversation de Victoria Nuland a été interceptée. Il s'agissait de savoir qui les États-Unis et leurs alliés de l'OTAN voulaient comme prochain chef de gouvernement. [Porte-parole :] En Ukraine ? 

[Heiko Schöning :] En Ukraine. 
[Porte-parole :] Celui que les États-Unis veulent avoir en Ukraine. 
[Heiko Schöning :] Exactement, c'est ça. C'est exactement de cela qu'il s'agissait. Et les pays de l'UE voulaient avoir Klitschko, le boxeur. Et Victoria Nuland a dit : "Fuck the EU". Donc oubliez l'UE. Très grossier, très hostile. Victoria Nuland disposait d'un budget d'environ 5 milliards de dollars pour ce putsch. Il s'agit donc en fait de corruption politique. Oui, il y a eu aussi beaucoup de violence au Maïdan. Et nous avons vu les terribles images et l'escalade que cela a entraînée avec les pays voisins de l'Ukraine. [Porte-parole :] Oui, et si à l'époque on y allait déjà avec une telle attitude, à savoir « Fuck the EU », alors aujourd'hui on ne peut que craindre le pire, à savoir que l'UE ou l'Europe soit peut-être abandonnée. Ou qu'on accepte qu'une guerre puisse effectivement avoir lieu du côté européen. 
[Heiko Schöning :] Oui, c'est vrai. Il est donc évident que la guerre est acceptée. Alors revenons-en au concret. Un général de l'armée allemande, Gerhartz, a vraiment planifié concrètement le bombardement détaillé du pont de Crimée. Et en fait, peu importe où se trouve ce pont, c'est un pont étranger. La République fédérale d'Allemagne n'est en guerre avec aucun pays et la population ne veut pas non plus de guerre. Et je dois dire très clairement, aussi en tant qu'officier de réserve de la Bundeswehr, que cela constitue un délit ; selon l'article 26, paragraphe 1 de la Loi fondamentale, ça doit être sanctionné. Cela figurait également dans le code pénal au paragraphe 80 - préparation d'une guerre d'agression. Il a été supprimé. Il a été supprimé en 2017, mais il a été maintenu presque comme le paragraphe 13 du droit pénal international. Mais il a été également quelque peu modifié, voire, à mon avis, quelque peu édulcoré. Là aussi, il faut se demander comment c’est possible. Comment peut-on supprimer un tel article de la loi pénale et le modifier de manière à ce qu'il ressemble à un vide juridique ? Mais en bref, je peux seulement dire, quelles que soient les astuces juridiques utilisées, que l'article 26 de la Loi fondamentale allemande, relatif au maintien de la paix, s'applique dans tous les cas. Et il y est clairement indiqué que même la préparation d'une guerre d'agression doit être punie. 
[Porte parole :] Cela signifie que les officiers de l'armée allemande se sont rendus coupables d'une infraction et devraient être poursuivis en justice. 
[Heiko Schöning :] Exactement, c'est le point important. Et il faut voir directement que sans la couverture des États-Unis, ce ne serait pas possible. On voit aussi dans les rendez-vous officiels, la conférence de presse fédérale, oui, Gerhartz est assis à côté de Gutmann, ils sont assis ensemble. Ils se rencontrent plus souvent, ils ont des accords et bien d'autres choses encore. Et aussi qu’un personnage aussi douteux obtienne un poste aussi élevé, c'est vraiment discutable. Et en plus de cela, je dois dire qu'Amy Gutmann n'était pas seulement la directrice de la commission bioéthique du président américain, et qu'elle a donc directement pris des décisions sur les armes biologiques, mais qu'elle a également été pendant de nombreuses années la présidente de l'Université de Pennsylvanie. Oui, c'est un État des États-Unis. C'est une université relativement importante, la Penn University, en Pennsylvanie. Et j'ai décrit en détail dans le livre « Attaque contre le microbiome » comment à l'Université de Pennsylvanie on mène la recherche sur les armes biologiques. Nous ne voulons pas trop entrer dans les détails, car nous avons déjà fait un rapport Schöning à ce sujet. Et à l'Université de Pennsylvanie, il y a un chercheur en armes biologiques, c'est Henry Daniel. 
[
(Porte-parole:] D'accord, et alors nous y revenons maintenant. Cela signifie donc que les fils vont tous dans la même direction, qu'ils se rassemblent à nouveau et que nous devons y prêter une attention particulière. Les principaux médias allemands y accordent peu d'attention, voire pas du tout. L'affaire Taurus ne mentionne pas la préparation d'une guerre d'agression, donc rien de si crucial comme contenu, mais on parle principalement d'espionnage de la part de la Russie. Là aussi, on dissimule le fait que tout ça a peut-être été mis en place ainsi avec le soutien des États-Unis. Et cela sert aussi à induire la population en erreur. Et le caractère crucial n'a finalement pas encore été saisi en Allemagne, au sein de la population, au point que ce soit rendu public. Et c'est principalement de cela qu'il s'agissait, d'appeler rapidement à une manifestation pour dire : Attention, nous sommes proches de la guerre si nous continuons ainsi. Les généraux de la Bundeswehr doivent être écartés de ces postes afin d'éviter le pire. Et c'est pour cela que cette manifestation pour la paix était prévue le 10 mars à Berlin. Mais Heiko Schöning a été placé en garde à vue par la police cinq minutes avant le début de la manifestation. Comment en est-on arrivé là, ou qu'est-ce qui a pu faire obstacle ? 


[Heiko Schöning :] Oui, je dois bien sûr supposer que mon téléphone portable et mes communications sont sur écoute. Il était donc clair que je serais le premier, le premier orateur de la manifestation à dire que les guerres d'agression sont interdites. Le général Gerhartz l'a fait avec d'autres généraux, je vais porter plainte auprès de la police contre Ingo Gerhartz et les autres généraux. Et c'est là qu'il faut toujours revenir, et toutes les autres choses sont des distractions. Nous sommes vraiment en face d’un jeu, d’un feu, d’une guerre d'agression. La planification est punie d'au moins dix ans de prison. Et mener une guerre d'agression c’est puni de prison à vie, oui. Et nous devons sortir dans la rue, nous devons le dire. Et c'était dimanche à Berlin, le 10 mars, à 14 heures, ça devait commencer. J'étais déjà là à midi dans la rue du 17 juin. C'est à environ 100 mètres de la porte de Brandebourg, devant le monument à la gloire des Soviétiques. J'ai parlé gentiment avec le policier, je lui ai montré ma carte d'identité. Je lui ai dit qui j'étais. Je suis le premier orateur, et où pouvons-nous mettre le matériel d'information ? Tout allait bien, tout allait bien, oui. Le départ était prévu à 14 heures, donc environ deux heures plus tard. Et voilà ce que nous avons vécu : environ cinq à dix minutes avant, la police arrive tout à coup et me demande… enfin c’était vraiment original, c'était juste une question : Voulez-vous venir pour un contrôle d’identité ? Alors qu’ils savaient exactement qui j'étais. Et c'est là que j'ai dit : Non, je ne veux pas venir. Je n'ai pas le temps pour ça en ce moment. Je veux… je veux parler ici, donc la réponse est non. Oui. Et ils n’ont pas dit qu'ils avaient déjà mon identité, ils ont dit qu’ils voulaient avoir mes coordonnées, encore une fois, et mon adresse… Je leur avais déjà donné cela auparavant, ou plutôt ils le savent. C'était absolument disproportionné. Il fallait me déranger, il ne fallait pas que je prononce ce discours. J'ai été emmené pendant plus de trois heures, oui, assez brutalement. Et très loin aussi, à Hohenschönhausen, à 15 kilomètres de Berlin City, oui, très loin, pour que je ne puisse venir qu'après la tombée de la nuit. Heureusement, nous avons pu nous organiser pour que je puisse encore y prononcer mon discours. C'est pourquoi on peut l'écouter. [Extrait] Attention ! La préparation d'une guerre d'agression est interdite. [Heiko Schöning :] Mais c'est une tactique qui consiste à essayer de détourner l'attention. Qu'on parle de tels événements, mais pas de leur contenu. Et je peux répéter que quoi qu'il se soit passé, les guerres d'agression sont interdites. Je porte plainte contre le général Gerhartz et les autres. Et je ne peux qu'inviter chaque citoyen à se rendre personnellement dans les commissariats de police. Et aussi avec cette vidéo, dans laquelle il y a les données, et dire : Voilà, c'est un délit présumé, je porte plainte - et d'invoquer simplement la Loi fondamentale. Rien de plus, rien de moins. Et c'est important que nous informions les fonctionnaires et les officiers, et donc les officiers de police, que quelque chose comme ça est en train de se passer. Et chaque citoyen est libre de savoir si la planification d'une guerre d'agression a effectivement eu lieu lors de cette conversation et avec les confirmations qui ont déjà été données par le gouvernement. Nous ne pouvons pas laisser faire ça. [Porte-parole:] Cela sert donc aussi à montrer qu'on a compris : Nous, en tant que population, nous avons compris. En tant que population, nous ne sommes pas derrière. En tant que population, nous essayons de nous défendre. Et aussi d'enquêter sur la police et éventuellement sur des politiciens et d'autres personnes. Il s'agit tout simplement de faire bouger les choses afin de pouvoir stopper une éventuelle guerre d'agression, à laquelle l'Allemagne participerait. 
[Heiko Schöning :] C'est vrai. C'est vraiment ce qui est important, oui. Et de ne pas criminaliser le rapporteur et celui qui le dit, mais de se concentrer sur ce que c'est, oui. Et c'est un délit selon l'article 11 de la loi sur les soldats. Je dois le redire ici très clairement. Selon l'article 11 de la loi sur les soldats, un ordre ne peut être exécuté s'il est susceptible de constituer un délit. C'est pourquoi nous lançons un appel à tous les soldats et à tous les fonctionnaires : « Dites NON ! » Non à la guerre d'agression ! On se rend soi-même punissable, sans parler des conséquences morales et autres. Car en tant que médecin, je peux dire de quoi nous parlons ici avec des missiles et des explosions et la destruction d'un pont, car cela entraîne à nouveau des pertes humaines, oui. Quand un missile de croisière comme le Taurus explose, il fait des milliers de degrés Celsius. Les gens sont brûlés. Ils sont mutilés et démembrés. C'est de cela que nous parlons. Je lance un appel à ces jeunes de Rheinmetall qui n'en ont aucune idée : Quand nous parlons d'attaques de missiles, nous parlons de brûler et de démembrer des êtres humains, et ce n'est pas une plaisanterie. C'est pourquoi  c'est « non » ! 
[Porte-parole:] Alors, mères, pères, nous ne donnons pas nos enfants ! Dites « non » et levez-vous pour la paix ! 
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Commentaires

  1. Une représentation d'Amy Gutmann aux côtés de Joe Biden ici : https://global.upenn.edu/penn-biden-center
    A l'Université de Pennsylvanie, il existe un Institut "Penn Biden Center " où travaillait Biden et où il avait entreposé des documents dits confidentiels datant de la présidence Obama
    https://www.lemonde.fr/international/article/2023/01/11/etats-unis-joe-biden-ne-sait-pas-ce-qu-il-y-a-dans-les-documents-retrouves-au-sein-d-un-de-ses-anciens-lieux-de-travail_6157356_3210.html
    Klitschko, dont Victoria Nuland ne voulait pas entendre parler est actuellement la cible des mécontents à cause de ses enfants qui vivent en gosses de riches à l'étranger

    https://rrn.media/fr/les-fonctionnaires-kieviens-volent-comme-la-derniere-fois/

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