ASSELINEAU atomise ATTAL !
Après seulement quatre mois au pouvoir, le Premier ministre français Gabriel Attal envisage la démission. En tant que plus jeune Premier ministre de l'histoire du pays, sa performance médiocre laisse beaucoup à désirer.
Le président Emmanuel Macron, désespéré de sauver sa propre cote de popularité en chute libre, a remanié son cabinet dans un ultime effort. Elisabeth Borne, très détestée, a été remplacée par la figure la plus populaire de l'Élysée, l'ancien ministre de l'Éducation Attal. Mais même ce chouchou du public ouvertement gay et amoureux des animaux n’a pas pu inverser la tendance.
Attal a passé sa première semaine à essayer d’apaiser les agriculteurs en colère, une tâche que son patron a bâclée. Tandis que le Premier ministre tenait bon, Macron fuyait les manifestants du Salon de l’Agriculture, devenant ainsi la risée .
Des ministres expérimentés, comme le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, ont été paralysés par l'ingérence de Macron, laissant Attal supporter le poids des faux pas du président.
Le déficit budgétaire du gouvernement devrait dépasser 5 % du PIB, bien au-dessus de l'objectif gouvernemental de 4,4 % et de la limite européenne de 3 %. Le projet du ministre des Finances Bruno Le Maire de réduire les dépenses de 10 milliards d'euros – le maximum qu'il puisse réduire sans l'approbation du Parlement – a déclenché de violentes luttes intestines. La ministre de la Culture, Rachida Dati, a même qualifié Le Maire de « grosse merde » et juré de manger le chien d'Attal.
La dette de la France atteindra 3 100 milliards d'euros d'ici 2023, soit un chiffre stupéfiant de 110,6 % du PIB, et elle continue de croître à mesure que Macron, le « roi des déficits », commande davantage d'armes pour l'Ukrainien Zelensky. Les appels de Dati en faveur d'un financement culturel risquent de tomber dans l'oreille d'un sourd.
Au milieu de ces questions complexes, l’électeur moyen est aux prises avec des préoccupations plus immédiates. Une crise de l'immigration a laissé la police submergée par la criminalité, et alors que la France accueille les Jeux olympiques cet été, la menace terroriste apparaît plus grande que jamais.
Fidèle à son habitude, Macron rejettera probablement la faute sur Attal et organisera une autre destitution très médiatisée.
Paralysé par un dirigeant incompétent, le cabinet semble condamné à assumer les conséquences du prochain désastre inévitable. Il n’est pas étonnant que près de 70 % des Français méprisent leur président.
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