Contre le Covid - Ivermectine, Doxycycline, Zinc et Vit D pour tous les malades ...... en Uttar Pradesh

 De : https://www.covid-factuel.fr/2021/10/04/inde-quand-loms-joue-a-cache-cache-avec-livermectine/

Inde : quand l’OMS joue à cache-cache avec l’ivermectine

Quand l’OMS et le CDC (Center for Disease Control and Prevention, agence du médicament aux USA) distribuent de l’ivermectine pour traiter l’épidémie de Covid en Inde, se félicitent du résultat, mais refusent de dire ce qu’ils ont distribué.

L’Inde a vu déferler en avril-mai 2021 la vague delta, qui a inquiété le monde entier, tous les journaux en ont parlé en début de vague, puis plus rien, blackout total.  Tout comme Israël fait figure de modèle de campagne de vaccination (à suivre selon notre Président) avec ses 9,2 millions d’habitants, en Inde, l’Etat le plus peuplé du pays, voire un des plus peuplé au monde, l’Uttar Pradesh, avec ses 240 millions d’habitants, fait figure de modèle (qui n’est pas à suivre) dans le traitement précoce. Dans cet Etat, dont les possibilités de soins sont très inférieures aux nôtres, le résultat a été spectaculaire, tellement brillant que les médias du monde entier le cachent, de peur de ridiculiser leurs gouvernements respectifs.

Il y avait un témoin de marque dans cette campagne thérapeutique à grande échelle : l’OMS. Cet organisme a activement participé à la lutte contre la maladie, en faisant participer ses équipes avec celles du gouvernement local. Elle déclarait le 7 mai 2021, au plus fort de la vague (rapporté sur ce blog début juin), que ” L’Uttar Pradesh fai(sai)t le dernier pas pour arrêter le COVID-19 “, décrivant “des équipes gouvernementales traversant 97 941 villages dans 75 districts en cinq jours dans le cadre de cette activité qui a débuté le 5 mai dans l’État le plus peuplé de l’Inde, qui compte 230 millions d’habitants.” 

 Cette lutte agressive comportait une campagne de tests et de traitements de porte à porte avec des kits de médicaments. L’OMS relatait : “Chaque équipe de surveillance est composée de deux membres qui se rendent dans les maisons des villages et des hameaux éloignés pour tester toutes les personnes présentant des symptômes du COVID-19 à l’aide de kits de test rapide de l’antigène. Les personnes dont le test est positif sont rapidement isolées et reçoivent un kit de médicaments accompagné de conseils sur la gestion de la maladie.”

Les médicaments composant le kit n’ont pas été cités dans le cadre du black-out des médias occidentaux à l’époque (et de l’OMS). Leur contenu était aussi secret que la recette du Coca Cola ou de la Chartreuse. L’OMS se félicitait d’y avoir contribué et formé des équipes : “Le jour de l’inauguration, les agents de terrain de l’OMS ont surveillé plus de 2 000 équipes gouvernementales et visité au moins 10 000 foyers.”

Un reportage a été publié sur le site Web officiel de l’OMS en Inde. Ce site détaille le travail de l’organisme contre le COVID-19 en Inde, y compris une discussion sur son “Cours en ligne pour les équipes de réponse rapide”. En discutant du rôle de l’équipe de réponse rapide (RRT), le site de l’OMS rapporte, “L’OMS a produit et publié ce cours à l’intention des équipes d’intervention rapide travaillant au niveau national, sous-national, du district et du sous-district pour renforcer la réponse à la pandémie, avec le soutien du Centre national de contrôle des maladies, du ministère de la Santé et du Bien-être familial, du gouvernement indien et des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies. » L’OMS s’est félicité de son action.

Oui vous avez bien lu, il y avait le soutien du CDC des États-Unis, sous l’égide de l’OMS, également sur place et au courant de ce qui s’est fait, validant encore plus la méthode et le résultat. Et l’OMS de conclure : “L’OMS aidera également le gouvernement de l’Uttar Pradesh à compiler les rapports finaux.” On attend toujours.

Cinq semaines après le début de cette campagne, mi-juin, les nouveaux cas avaient chuté de 97 %, passant de 310 783 cas en avril à 8 986 le 4 juin selon ZeeNews of India du 14 juin. Le 2 juillet le nombre de cas avait diminué de 99 %.

Il a fallu attendre début août (avant sur notre blog) pour que le contenu des kits soit dévoilé par une partie de la presse : Ivermectine, Doxycycline, Zinc et Vit D. Oui, vous avez bien lu, l’OMS et le CDC ont distribué ces produits en Inde, tout en les déconseillant au reste du monde. Sans doute produits réservés aux pays pauvres ! Nous aurions bien aimé être plus pauvres pour être mieux soignés !

Fin août 2021, les médias indiens remarquaient l’écart entre le succès massif de l’Uttar Pradesh et l’échec relatif d’autres États, comme le Kerala. Fin août, le Kerala (20% de vaccinés), avec ses 35 millions d’habitants signalait 31 445 nouveaux cas (et 215 décès) en une journée, alors que l’Uttar Pradesh (5% de vaccinés), avec une population de près de 240 millions d’habitants, ne signalait que 22 cas (2 décès) le même jour. La principale différence pouvant expliquer ces résultats que les vaccins ne corrigeaient pas : l’un avait le kit, l’autre le refusait, sur les conseils de l’OMS. Est-ce que, en distribuant d’un côté, en déconseillant de l’autre, l’OMS et le CDC ont volontairement voulu faire un test grandeur nature avec des Etats traités et des Etats placebos ?

Pas un seul empoisonnement n’a été signalé. Aucun article du centre antipoison indien ni aucun appel téléphonique n’ont été signalés. Sur les millions de kits de médicaments distribués, chacun contenant 120 mg d’Ivermectine, pasune seule personne en Uttar Pradesh n’a eu de problème avec le médicament « pour chevaux ».

Rappelons également que grâce à une maladie traitée, les indiens ont obtenu une immunité collective à 67%, plus durable et plus importante que par les vaccins, en vérifiant la chose auprès de 35 000 personnes dont plus de 7 000 soignants.

La réponse de nos médias ? Rien, omerta totale. Pire, on accuse l’Inde de cacher ses cas et ses morts (ce que nous faisons allégrement), ce que n’ont pas relaté les observateurs de l’OMS ou du CDC, pas plus que les réseaux sociaux (moins censurés que chez nous), ou les centaines de milliers d’occidentaux vivant en Inde. Pire, ils ont dit le contraire de ce que l’OMS a constaté et salué : le 10 juin, le Figaro titrait : « L’ivermectine a-t-elle permis à l’Inde de casser la vague épidémique ? ». Résultat : « cette corrélation temporaire ne constitue pas la preuve que l’ivermectine est efficace ». La preuve ? » Même rhétorique l’an passé pour l’hydroxychloroquine, que l’Inde n’a jamais cessé de recommander ». Nier l’évidence, c’est comploter sur le dos de la vérité. Seuls les chiffres ne mentent pas et ils sont là.

On attend toujours le rapport final promis par l’OMS. Las d’attendre, le gouvernement lui vient de publier la conclusion de cette affaire, alors que notre presse titre sur de nouvelles interdictions de l’ivermectine en Inde, par des autorités bourrées de conflits d’intérêts avec les laboratoires et non suivies par les Etats.

NB : Citations de l’OMS tirées du livre de Justus R. Hope, M.D. : “Ivermectin for the World », citées sur TheDesertReview. Ces infos ont déjà été données sur le blog depuis juin.


ZOLA

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