Ivermectine en traitement précoce en Australie -

 De : https://www.covid-factuel.fr/2021/10/21/ivermectine-en-traitement-precoce-en-australie/


Le médecin et chercheur Thomas Borody, relate une expérience de traitement par une trithérapie par Ivermectine-Doxycycline-Zinc, en ambulatoire et portant sur 600 patients, avec groupe témoin non traité, volontaires et non tirés au sort ( = non randomisés).

Cette étude est une étude observationnelle, de juin à septembre 2021, arrêtée à 600 patients, suite à l’interdiction faite aux médecins généralistes de prescrire l’Ivermectine par les autorités australiennes (TGA). Résultats colligés auprès de plus de 30 médecins, dans deux Etats. Une publication est en préparation.

Le traitement de 10 jours : Ivermectine à dose conséquente 24 mg/jour, Doxycycline 100mg/jour, Zinc 50 mg/jour. Tous les patients ont été traités sous 48H après un test PCR positif. Aucun n’a dû arrêter en raison d’effets secondaires. Dans le groupe traité, 5 hospitalisés (0,78%), 0 décès. Dans le groupe témoin, 70 hospitalisations (11,5%) et 6 décès (1%), chiffres tout à fait cohérents et retrouvés partout.

Un sous-groupe de 126 personnes (de 17 à 92 ans) était en quarantaine (à l’hôtel ou chez eux) et suivi de plus près sur 10 critères. Toutes les oxymétries se sont normalisées sous 10 jours, les symptômes les plus persistants ont été la perte du goût et de l’odorat.

Borody a comparé ses groupes avec ceux de l’étude de Merck (385 patients) sur le Moneypiravenir. Les groupes placebo dans chacune des deux études ont le même taux d’hospitalisations et de décès. Par contre dans le groupe traité avec son antiviral, Merck a 8 fois plus d’hospitalisations.

Les résultats de cette étude sont tout à fait cohérents avec ceux que l’on retrouve dans la grande majorité des 63 études publiées sur l’Ivermectine, et réalisées dans 20 pays par 625 auteurs et portant sur 47 500 patients.

Une étude semblable et portant sur plus de cas pourrait être faite en France avec les témoignages que nous avons, mais les médecins doivent s’en cacher. Qu’est-ce qui serait gênant si on le faisait en toute transparence, contrôlable auprès des patients ? Apparemment, ceux qui l’interdisent ont peur du résultat d’une telle étude et de son impact.

Il a été décidé par l’ANSM que l’Ivermectine « n’a strictement aucune action, tant en prophylaxie qu’en thérapeutique ». Cette décision (décision et non constatation) n’est pas médicale, mais politique et financière. D’ailleurs on refuse de nous donner les conditions de cette décision, alors que la loi l’impose.

Qui est donc Thomas Borody qui a pu faire cela en Australie, dans une dictature sanitaire qui vaut bien la nôtre ? Non connu chez nous, et pourtant ! En Australie, ce médecin et chercheur est très connu et estimé. Il est vrai aussi que depuis l’arrivée du covid, ceux qui avaient de l’expérience et une grosse notoriété (cf Didier Raoult) sont discrédités au profit de statisticiens et modélisateurs non soignants. Les décisions ne pouvant s’expliquer médicalement sont alors prises dans le cadre d’un secret Défense. 

Borody est un peu dans ce cas en Australie, mais ce qui est surprenant, c’est que c’est la deuxième fois dans sa carrière. Il a en effet mené le combat de l’antibiothérapie dans l’ulcère de l’estomac (relaté sur ce blog ici), prenant le relais de l’action de Barry Marshall et Robin Warren qui avaient découvert Helicobacter pylori, pour mettre en place un protocole qui fait que, maintenant, on n’opère plus les ulcères de l’estomac, que les cancers ont diminué, et que des centaines de milliers de vies ont été sauvées. C’est donc la deuxième fois qu’il défend un traitement salué par un prix Nobel. Il sait de quoi il parle compte tenu de son expérience avec l’ulcère de l’estomac, et aussi parce que, depuis, il a consacré sa carrière à l’étude des bactéries intestinales et est à l’origine de thérapies antibiotiques pour toute une série d’affections qui ne sont pas explicitement associées à des bactéries.

En effet, à l’époque, traiter les ulcères par des antibiotiques était un non-sens, tout comme traiter la grippe avec des antibiotiques. Les défenseurs de ce traitement étaient ridiculisés par leurs pairs, convoqués par l’Ordre, méprisés par le président de la société de Gastro-entérologie, et ils étaient interdits de publication. 20 ans de combats contre des scientifiques sceptiques et septiques, influencés à l’époque par les laboratoires vendeurs d’antiacides (les anti ulcéreux étaient parmi les médicaments les plus vendus au monde), jusqu’à l’attribution d’un prix Nobel à Marshall et Warren en 2005. Borody espère qu’il ne faudra pas 20 ans pour gagner comme pour Helicobacter, et il signale qu’à l’époque, “the most educated levels of society are the most difficult to change their views. There is a flat-earth mentality.” (Les plus difficiles à convaincre étaient ceux qui avaient l’éducation la plus élevée dans la société, avec le même discours de ceux qui croyaient que la terre était plate). Nous en sommes au même point avec l’ivermectine, des idées préconçues et fausses, dont certains ne veulent pas démordre.

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