Le cancer explose avec la vaccination
De : https://www.geopolintel.fr/article2832.html
Le cancer explose avec la vaccination et l’augmentation des D-Dimères
mardi 12 octobre 2021
Bon nombre de vaccinés ont vu leur taux de D-dimères augmenter après l’injection. Il est constaté sur leurs analyses de sang que si leur taux de D-dimères était fortement élevé, il y avait un risque de faire une CIVD (Coagulation intravasculaire disséminée). Beaucoup de ces personnes peuvent être atteintes de CIVD sans le savoir jusqu’à ce qu’il y ait un saignement important comme une thrombose veineuse cérébrale dans les sinus.
Un cas de thrombose atypique après la vaccination.
Sur Futura Sciences, un article décrit ce phénomène [1]
La coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) est une anomalie complexe de l’hémostase aux conséquences dramatiques et depuis longtemps décrite comme associée aux pathologies tumorales.
Pour exemple :
Georges L 77 ans, doublement vacciné, se plaignait de saignements de nez avec de gros caillots de sang. Il ne comprenait pas ce qui se passait et ressentait une forte fatigue. Plus tard, il se plaignait de douleurs sur le squelette, et en éternuant sentit une rupture de côte. Le résultat de ce patient est stupéfiant : il est atteint d’un myélome et va être traité par chimiothérapie.
La CIVD peut être causée par certains types de cancers dont ceux-ci :
leucémie, en particulier la leucémie promyélocytaire aiguë (LPA)
tumeurs malignes solides, en particulier l’adénocarcinome de la prostate, du poumon, du sein ou du pancréas
cancer de l’ovaire
cancer du rein
cancer de l’estomac
mélanome
cancer de la vésicule biliaire
La CIVD peut aussi être causée par d’autres troubles comme une sepsie sévère, qui est une infection générale du sang ou d’autres tissus liée à une bactérie. Une réaction grave à une transfusion sanguine ou une insuffisance rénale due à un cancer qui s’est propagé, ou métastasé, au foie peut aussi causer la CIVD.
La valeur prédictive de la mesure des D-dimères pour le cancer chez les patients atteints de thrombose veineuse profonde.
Les concentrations élevées de D-dimères lors de la présentation ou pendant les premiers jours de traitement sont des indicateurs d’une probabilité accrue de formes ouvertes ou occultes du cancer, en particulier chez les patients de moins de 60 ans.
https://www.epistemonikos.org/fr/do...
Identification des patients à haut risque de cancer au décours d’une maladie thromboembolique veineuse.
Le bilan de dépistage du cancer au décours d’une maladie thromboembolique veineuse (MTEV) reste actuellement controversé.
Le risque est de développer une néoplasie au décours d’un événement thromboembolique. Une étude rétrospective ancillaire cas-témoins a été réalisée chez des patients ayant présenté une MTEV( maladie thromboembolique veineuse) authentifiée, et chez lesquels les cancers ont été répertoriés.
Résultats
Notre population était constituée de 142 patients (53 % d’hommes, âge médian de 71ans). À deux ans de la MTEV, 24 patients (17 %) étaient porteurs d’un cancer. Les valeurs des médianes des D-dimères, des monomères de fibrine et de la SP-sélectine sont significativement plus élevées chez les patients ayant un cancer. La régression logistique a permis d’identifier deux éléments permettant de cibler les patients à haut risque de cancer : le caractère bilatéral de la thrombose (OR : 4,41, 95 % IC : 1,41–13,78, p=0,01) et un taux de D-dimères supérieur à 3,8μg/mL (OR : 3,68, 95 % IC : 1,36–9,94, p=0,01). Ces deux caractéristiques portent une information additive ; 58 % des patients de notre population ayant ces deux facteurs associés ont un cancer.
Conclusion
Le caractère bilatéral de la thrombose et des D-dimères supérieurs à 3,8μg/mL sont hautement associés à la pathologie carcinologique. Ce résultat nécessite d’être validé par une étude prospective. Cela permettrait de limiter le dépistage à la population la plus à risque. ref : https://www.em-consulte.com/article...
LE TAUX DE D-DIMERES PREDICTIF DU PRONOSTIC CHEZ LES PATIENTS CANCEREUX
On connaît depuis fort longtemps l’existence d’une association entre cancer et hémostase.
Une activation de la coagulation et un état pro thrombotique sont souvent observés chez les sujets cancéreux, même s’ils ne donnent pas lieu à des complications thromboemboliques cliniquement significatives.
Les cellules tumorales ont une forte activité pro coagulante induisant une activation locale de la coagulation avec formation de fibrine jouant un rôle dans la formation du stroma tumoral et probablement dans leur dissémination hématogène. Par ailleurs les produits de dégradation de la fibrine ont une activité angiogénique favorisant le développement de la tumeur.
Dans ces circonstances, il n’est pas surprenant de constater une augmentation du taux de D-Dimères, marqueurs d’activation de la coagulation et de fibrinolyse, chez les sujets cancéreux. Dans des séries limitées de patients, il a été démontré que l’augmentation de leur taux était un facteur de risque de survenue de thrombose. Par contre, l’impact de cette élévation sur le pronostic global n’avait jamais été évalué. C’est l’objet d’une étude prospective ayant concerné 1178 patients cancéreux avec un délai d’observation médian de 731 jours et concernant tous types de cancers : tumeurs solides (70,4%), cérébrales (12.6%) et hémopathies (17%). L’ancienneté de la maladie était également très variable.
Le taux de D-Dimères a été dosé à l’inclusion chez chaque patient et mis en relation avec les évènements survenus au cours du suivi. Le taux médian était de 710 ng/ml, plus fort en cas de tumeur solide ou cérébrale qu’en cas d’hémopathie. Les patients atteints de cancer métastasé avaient un taux significativement plus élevé (990 ng/ml vs 500 ng/ml) de même que les patients décédés en cours d’étude (1080 ng/ml) par rapport aux survivants (710). L’étude de la survie a montré une relation inverse avec le taux de D-Dimères et une analyse de type Kaplan-Meier prouve que la probabilité de survie diminue avec le taux de D-Dimères. La subdivision en 4 groupes (taux normaux, taux augmentés du 1er, 2e et 3e quartile) montre une survie respective à 1 an de 78%, 66%, 50 et 30%. L’étude multivariée démontre que cette relation affecte tous les types de cancers (type de tumeurs, métastasé ou non), sans que les notions d’âge, de sexe ou même de survenue de complications thrombo-emboliques ne rentrent en ligne de compte.
Si les résultats de cette étude sont confirmés, la mesure des D-Dimères pourrait constituer un test prédictif et sa mesure séquentielle chez des patients pourrait permettre d’évaluer l’efficacité des traitements anti-cancéreux, tout autant qu’elle pourrait être un argument pour l’utilisation concomitante de traitements anti-thrombotiques.
Haematologica 2012 ; 97 : 1158-1164
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