NUIT BLANCHE

 

TORTURE DU CERVEAU  PAR ÉNERGIE PULSÉE

Certaines nuits sont particulièrement  dangereuses  et épuisantes par la violence des tirs  d’énergie initiaux et qui provoquent ensuite des éclatements électriques en cascade  dans un cerveau déjà très amoché.  

Il n’existe pas d’ explication  à ce surcroît de sadisme ponctuel. 

Par contre, il existe des indices de la survenue prochaine de la séance de torture  et qui  annonce  en général le verrouillage du signal sur  le corps et le prochain matraquage. 

Ce peuvent être :

- une série longue de hoquets irrépressibles ou d’éternuements sans raison

- un bruit  continu  au niveau de l’oreille gauche qui présente maintenant une douleur interne constante au toucher

- des pincements intermittents et rapides sur les nerfs des pieds ou des chevilles

- une sensation d’enfoncement d’aiguille dans les orteils 

Le matraquage  des premiers tirs d’énergie  commence quand la cible ( moi)  est fixée  en position horizontale pour se reposer ou dormir.  

Lors des changements de place du couchage obligés  pour couper court aux décharges électriques douloureuses, il existe souvent un temps de latence avant la reprise des tirs d’énergie . Donc une recherche ou adaptation pour un nouveau verrouillage du signal sur la cible. 

Les premiers tirs de reprise sont toujours violents et semblent engendrer un effet de résonance dans la tête  .

Les séance de torture peuvent durer une nuit entière , en fonction du sadisme présumé - évoqué plus haut -de l’opérateur et de la programmation effectuée. 

La force de l’énergie émise croit avec la superposition des protections, et se ressent lors d'un tir d'énergie suivant . 

Depuis quelques mois la souffrance  cérébrale  induite par les tirs d’énergie  ( et une mise en résonance )  est essentiellement ressentie dans la partie droite du cerveau. 

Cette résonance -interne à droite - existe même lorsque le côté droit de la tête fermement entourée de packs de gel est tout aussi  fermement appuyé sur la surface plane du matelas.

Les  premiers tirs d’énergie traversent  de toute façon les packs de gel.

La relative atténuation évite les convulsions du haut du corps et les gesticulations brusques et intempestives 

Le segment montré ci-après montrent les réactions du cerveau aux tirs d’énergie de la nuit du 29/11/2023 . Il s’agit d’un enregistrement EEG.

La première image fixe  de la mini vidéo montre l’état des ondes cérébrales avant le premier tir d’énergie

Le 2ème image ci-après donne l’indication de l’énergie électrique existante en  moment de repos  à 22H59 . Elle est exprimée en  microVolt (uV) . Le maximum d’énergie électrique  enregistré par l’appareil EEG  en ce temps de repos normal , est 41uV ( image 2090)

Le premier tir  reconnu  par le cerveau  sous forme d’un éclatement électrique fulgurant  dans le cerveau  a eu lieu à 23H03 (photo2087) .

 Ici le maximum d’énergie électrique enregistré est 277666 uV

Les rectangles verts dont le premier est indiqué par la flèche correspondent aux éclatements d’énergie électrique ressentis par le cerveau (photo 2092) et enregistrés par l'appareil EEG

La cadence des éclatements dans le cerveau du segment présenté ici est répertorié par l’appareil EEG ainsi ( image 2079)

Certains des éclatements électriques sont  violents . Ils  semblent initiés par des tirs externes  d’une énergie pulsée ,alors que d’autres pourraient en être la conséquence par effets de résonance 

J’ignore d'où provient  la présumée résonance et s'il s'agit d’un artefact caché  qui n’a pas été trouvé par 2 IRM .

Par ailleurs, un examen d'un service hospitalier spécialisé avait montré qu'il n'existe pas de terrain épileptique dans mon cas.

On sait qu’il  a eu existé  une start-up française qui commercialisait des dents avec puce incorporée. Cela avait été officiellement interdit. 

On sait aussi ,  notamment grâce aux travaux de Dr Mihalcea et de la Quinta Columna , qu’outre les vaccins qui introduisent des cochonneries invraisemblables dans les organismes humains ainsi transformés en HGM et émetteurs de leur propre souffrance, et ( on sait donc ... )que  notre environnement éminent pollué  peut réussir le même exploit.