Les armes biologiques américaines exposées par le lieutenant-général Igor Kirillov
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Via : Peter Halligan
La Russie donne des informations sur la censure du Département d'État et du Conseil de l'Atlantique concernant les biolabs américains dirigés par Bill Gates et Metabiota lié à Hunter Biden
Le Département d'État américain a lancé une campagne de sensibilisation active afin de neutraliser les accusations russes selon lesquelles les biologistes militaires américains auraient violé les dispositions de la Convention sur les armes biologiques, comme l'indique une présentation du ministère russe de la Défense présentée le 14 juillet par le lieutenant-général Igor Kirillov.
Kirillov affirme que le Centre international de la science et de la technologie (ISTC) à Astana, au Kazakhstan, joue un rôle clé dans la censure de toute affirmation concernant les armes biologiques américaines en Ukraine, aux côtés de Wooden Horse Strategies – une société de conseil basée à Kiev dirigée par Brian Mefford, chercheur principal au Atlantic Council Eurasia Center – qui aurait proposé un accord pour publier des documents pertinents en ligne au moins huit fois par mois, tout en surveillant les publications « pro-russes » liées à ce sujet et en bloquant l’accès chaque fois que nécessaire.
Kirillov déclare en outre que l'ISTC finance des activités Internet visant à combattre les données sur les biolaboratoires américains présents en Ukraine et à promouvoir simultanément une perception positive des projets de Washington dans les pays post-soviétiques.
Des rapports récents en provenance de Russie ont suggéré que la Fondation Bill et Melinda Gates a financé « des installations de production à double usage, telles que la société de biotechnologie Oxitec » qui pourraient être utilisées pour produire en masse des vecteurs d'infection pour les armes biologiques.
De plus, Kirillov affirme qu'une augmentation du nombre de moustiques tigres asiatiques non endémiques a déjà été enregistrée dans le sud et le centre de l'Europe, avec des populations établies dans cinq districts fédéraux d'Allemagne. Par ailleurs, une autre espèce de moustique (Culex modestus), vecteur de la fièvre du Nil occidental, a été identifiée en Suède et en Finlande.
Kirilliv poursuit en accusant le travail des biologistes militaires américains de "viser à la formation d'"épidémies gérées artificiellement" non contrôlées par la Convention sur les armes biologiques". Il affirme également avoir saisi des documents prouvant que le Pentagone a maintenu des institutions de recherche sur les armes biologiques en Ukraine par l'intermédiaire de l'Institut de recherche de l'armée Walter Reed et a participé à la guerre biologique dans le Donbass, principalement russophone, de 2014 à 2022.
L'unité de recherche médicale navale des États-Unis (NAMRU) exploite sept laboratoires de la marine, dont trois sont situés dans des sites internationaux. Le 12 décembre 2019, NAMRU-3 a déménagé du Caire, en Égypte, à la base aéronavale de Sigonella en Italie. NAMRU-2 est situé à Phnom Penh, au Cambodge depuis 2002 et l'USN Naval Medical Research Unit 6 (NAMRU-6) a été fondée à Lima, au Pérou en 1983.
Kirillov a allégué que les activités des succursales étrangères du NAMRU s'étendent au-delà de la collecte et de l'expédition d'agents pathogènes. Il a accusé le Pentagone de tenter de promouvoir les intérêts des grandes sociétés pharmaceutiques américaines, qui seraient des contributeurs majeurs aux campagnes électorales du Parti démocrate.
En outre, Kirillov affirme que des documents acquis dans les territoires occupés par la Russie en Ukraine démontrent un plan du Pentagone visant à tester des produits médicaux non enregistrés sur les populations locales avec l'approbation ultérieure des organismes de réglementation en faveur de Big Pharma.
Selon lui, cela a été accompli via un « réseau de biolaboratoires subordonnés et d'organisations intermédiaires », dont Metabiota, qui est financé par Hunter Biden.
Kirillov a présenté la preuve d'un appel d'offres Metabiota qui a été saisi dans un biolaboratoire ukrainien adressé à l'Institut de recherche médicale de l'armée américaine sur les maladies infectieuses, qui concernait la formation de spécialistes des maladies infectieuses au Kenya et en Ouganda.
Kirillov a affirmé que le document indiquait l'implication de l'Agence de réduction des menaces de défense du Pentagone, du Département de la sécurité intérieure, de l'USAID et des organisations de l'UE en ce qui concerne la recherche sur les agents pathogènes dans les pays d'Afrique.
« L'implication de Metabiota dans l'étude du virus de la grippe aviaire H7N9 a été confirmée, ainsi que son rôle moteur dans le projet Predict, qui a étudié de nouvelles souches de coronavirus et capturé des chauves-souris qui les portent dans le milieu naturel », affirme Kirillov. "Les représentants de Metabiota eux-mêmes admettent qu'en fait, ils sont engagés dans des réseaux pour assurer le travail du Pentagone et d'autres agences américaines à l'étranger."
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