Après l’excellent documentaire “Des vaccins et des hommes” réalisé par
Anne Georget et diffusé sur Arte, je souhaite vous parler du dernier
livre de Xavier Bazin : Antivax toi-même !Retrouvons un esprit critique sur la vaccination.
L’intérêt de cet ouvrage réside dans la vision objective et rigoureuse
qu’il propose de la vaccination en général, et pas seulement celle
contre la Covid-19. (1)
En clair, si les populations, les médecins, et les experts ont, dans
leur grande majorité, accepté si vite et sans hésiter, ce nouveau vaccin
expérimental qui n’a, pour l’heure, toujours pas fait la preuve d’une
balance bénéfice/risque favorable, cela est dû à un long
conditionnement. Xavier Bazin prend le temps de décrypter les mythes
autour de la vaccination qui ont transformé un outil perfectible en une
sorte baguette magique.
Le livre qu’il propose est donc ambitieux. Il vous invite à sortir du
monde magique et merveilleux de la vaccination telle que l’on nous l’a
vendu pour entrer dans celui de la raison et des données vérifiées.
Bref, Xavier Bazin propose de rattacher le champ vaccinal au champ
scientifique, dont l’industrie pharmaceutique l’avait sorti à son
profit.
La vaccination est fondée sur des récits mythologiques
Le livre propose au lecteur un retour rapide sur l’histoire des
maladies infectieuses. L’auteur rappelle que la gale, la lèpre, la peste
ou la scarlatine ont disparu en Europe et en Amérique sans vaccination.
De même, la fièvre typhoïde et le choléra ont disparu sans qu’il y ait
eu de vaccination de masse. Si l’on y regarde de plus près, même les
maladies infectieuses que l’on imagine avoir été détruites par la
vaccination, ont, en réalité, été vaincues par d’autres moyens. C’est le
cas de la tuberculose dont le vaccin n’est plus obligatoire depuis
qu’on a constaté sa faible efficacité.
Le cas de la variole est symptomatique. Cette maladie est souvent citée
- y compris par les médecins - comme ayant été éradiquée par des
campagnes de vaccination. Ce n’est pas ce que dit le rapport de l’OMS de
1980 sur le sujet. Ce document précise que les campagnes de vaccination
contre la variole ont échoué dans la plupart des cas.
D’après l’un des cadres de l’OMS, c’est la stratégie de “surveillance-endiguement” qui
a permis de lutter efficacement contre cette maladie. Ainsi, les
campagnes massives de vaccination contre la variole ont été abandonnées
au profit d’une approche plus précise. On a isolé les individus touchés
et leur famille.
La conclusion reste claire et tout-à-fait officielle : la vaccination
n’a pas éradiqué la variole. Si vous preniez le temps d’expliquer cela à
votre médecin, documents à l’appui, il ne vous croirait pas.
Même les maladies que l’on croit connaître intimement sont concernées !
L’exemple de la rougeole et de la coqueluche, des maladies contre
lesquelles on vaccine les enfants depuis trois générations, est
marquant. Les données concernant l’Angleterre et le Pays de Galles sont
rapportées dans le livre. On note sur les graphiques que la mortalité
liée à ces deux maladies a commencé à décroître dès la fin du XIXe
siècle.
En 1920, la mortalité a été divisée par trois par rapport à 1850 pour
la coqueluche comme pour la rougeole. La chute vertigineuse se poursuit
et dès 1950, la mortalité disparaît quasiment. Elle est proche de 0 et
le restera. Sauf que la vaccination contre la coqueluche a été
introduite en 1952 et celle contre la rougeole en 1968. La vaccination
n’a pas eu d’effet sur le recul de la mortalité liée à ces maladies.
On peut simplement supposer qu’elle a contribué à stabiliser ce taux de
mortalité très bas. Ce passage du livre s’achève sur une citation d’une
étude publiée dans le Journal of Epidemiology and Community Health . Je vous la reproduis intégralement :
“La coqueluche s’est comportée comme la rougeole et de manière
similaire à la scarlatine et à la diphtérie, pour chacune desquelles 80%
de la baisse totale de mortalité au Royaume-Uni s’est produite avant
qu’un vaccin ou des médicaments antimicrobiens ne soient disponibles, et
90% ou plus avant qu’il y ait un programme national de vaccination.”
(2)
Quelles sont donc les causes réelles du recul des maladies infectieuses
dans ce cas ? L’auteur explique que, pour l’essentiel, l’amélioration
des conditions de vie, de la qualité de l’air, de l’eau, du logement et
de l’alimentation ont permis de faire reculer la mortalité liée aux
maladies infectieuses. La vaccination et les médicaments sont venus plus
tard, quand la bataille était déjà gagnée !
D’autres mythes sont passés en revue comme l’aspect altruiste des
vaccins (si ça ne nous protège pas réellement, ça protège les autres en
réduisant le risque de contagiosité) qui est loin d’être démontré ou
encore leur sécurité qui est, elle-aussi, sujette à discussion. Il
existe, en effet, de nombreuses failles dans l’élaboration des vaccins
et la façon dont les autorités de contrôle les supervisent. Cependant le
sujet est rarement abordé.
C’est le mérite d’Antivax toi-même ! que d’analyser chaque
mythe l’un après l’autre, ce qui permet de replacer la vaccination à sa
juste place. On découvre, par exemple, que les enfants vaccinés ne sont
pas forcément en meilleure santé que ceux qui ne le seraient pas.
Le système immunitaire est encore mal connu
Xavier Bazin souligne, pour ceux qui l’auraient oublié, que l’immunité
est un système complexe que l’on commence tout juste à comprendre. Voilà
pourquoi, encore aujourd’hui, de nombreuses questions autour des
vaccins restent incertaines. Ainsi, on ne sait pas quels sont les
risques individuels liés aux vaccins et on ne sait pas quels liens
pourraient exister entre les maladies auto-immunes et la vaccination.
Toutes ces incertitudes devraient pousser les autorités de santé et les
pédiatres à être plus prudents avec la vaccination. Les systèmes de
pharmacovigilance devraient être renforcés. Toutefois, ce n’est pas le
cas. Pourquoi ?
Comment
l’industrie pharmaceutique et les pouvoirs publics travaillent main
dans la main pour imposer des politiques sanitaires planétaires
La suite du livre Antivax toi-même ! répond à cette question.
Contrairement à d’autres pans de la médecine ou des sciences, la
vaccination n’a pu s’imposer que par l’intervention massive et
permanente des autorités publiques. Ce n’est, du reste, pas une surprise
puisqu’il s’agit en principe d’un outil de prévention. Par définition,
démontrer qu’un risque va ou ne va pas se produire est très difficile.
Pour imposer la vaccination aux populations, il a donc fallu que les
États utilisent toutes les prérogatives de la puissance publique à leur
disposition. Les politiques vaccinales se sont construites grâce à un
maillage institutionnel toujours plus étroit entre l’industrie
pharmaceutique, les États, leurs administrations sanitaires et l’OMS.
(3)
C’est ainsi, par exemple, qu’aux États-Unis, l’industrie pharmaceutique
a réussi à sortir la vaccination et ses effets secondaires du système
judiciaire américain classique. Il existe une administration spéciale
pour ces effets secondaires, dont le rôle est d’étudier les demandes de
compensation et de les honorer lorsqu’un effet secondaire a été reconnu.
(4, 5)
En 2020, plus de 250 millions de dollars ont été versés aux victimes.
Elles sont dédommagées par un fond nourri par l’industrie
pharmaceutique. Pour chaque vaccin acheté, une petite commission va vers
ce fond. L’industrie pharmaceutique paye à l’avance pour ses victimes.
Ce système lui permet d’éviter le discrédit lié aux procès surmédiatisés
ainsi que les aléas de la procédure judiciaire. Les victimes sont
indemnisées rapidement et s’en tiennent là. (4, 5)
Cette bonne entente entre l’administration et l’industrie
pharmaceutique se retrouve à tous les niveaux. Les carrières des
médecins de l’industrie pharmaceutique sont souvent jalonnées de
missions de service public. Les conflits d’intérêts qui existent entre
l’OMS, les administrations sanitaires, les revues scientifiques et
l’industrie pharmaceutique sont nombreux. (1)
Même les institutions au plus haut niveau sont concernées
Xavier Bazin a pris la peine de les décrypter pour les rendre
intelligibles au plus grand public. Par exemple, il explique pourquoi
les administrations de santé sont parfois incitées à ne pas dire la
vérité. Il faut savoir que, lorsque la FDA américaine, l’agence qui
autorise la mise sur le marché des vaccins et des médicaments, valide le
vaccin anti-Covid de Pfizer, elle le fait uniquement en se fondant sur
les informations fournies par le fabricant et sans jamais faire
revérifier les chiffres par des chercheurs indépendants.
Ces données n’ont cependant pas été rendues publiques. Il a fallu
qu’une association porte plainte et qu’un juge ordonne à la FDA d’ouvrir
ses dossiers, pour que ces données deviennent accessibles. La FDA a
alors accepté l’aide de Pfizer pour masquer certains passages du rapport
sous couvert de secret industriel. C’est ce que l’on appelle des
relations dangereuses entre l’industrie pharmaceutique et
l’administration. Malheureusement, cet exemple n’est qu’un fait
scandaleux de plus sur une longue liste…
De même, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui fait office de
référence dans son domaine depuis la 2e Guerre mondiale est en réalité
un organisme sous influence qui dépend davantage de financiers privés
que des États. Ainsi la Fondation Bill Gates en est devenue le plus gros
donateur et l’OMS en dépend beaucoup. Or cette fondation est elle-même
financée par les dividendes des actions qu’elle détient… dans
l’industrie pharmaceutique ! C’est ce qu’on appelle un conflit
d’intérêts majeur.
Bill Gates, depuis des années, s'est mis en tête qu’il fallait vacciner
tout le monde, partout, à peu près tout le temps, pour à près tous les
agents infectieux qui se présentent. On peut parler de lubie de
milliardaire, de dérive fondamentaliste, de volonté de contrôle des
populations, etc. qu’importe. Le vrai problème, est que l’OMS héberge
dans ses propres locaux des salariés de cette fondation et que le
directeur de l’OMS est lui-même un ancien cadre de la Fondation Bill et
Melinda Gates. Qui contrôle qui ? Un organisme international réunissant
des États n’a pas à être détenu en tout ou partie par une organisation
privée.
Cette situation improbable est le fruit d’une longue construction et
d’une stratégie assumée et annoncée par le milliardaire. Les deux
instruments de l’influence de la Fondation Gates sur l’OMS sont les
programmes GAVI et ID2020. Il s’agit de partenariats public/privé comme
l’on dit pudiquement, c’est-à-dire des ententes par lesquelles les
pouvoirs publics soumettent leurs prérogatives et leur crédibilité à des
entreprises privées, qui en échange financent le tout.
Sur le papier, ce type de coopération paraît astucieux. Néanmoins, le temps a montré qu’in fine,
c’était une manière de remettre le bien public entre les mains de
quelques milliardaires non élus qui en font ce qu’ils veulent. C’est
ainsi qu’en utilisant GAVI, ID2020 et puis finalement l’OMS elle-même,
Bill Gates, qui n’est ni élu, ni médecin, a fini par exercer une
influence exorbitante sur les politiques sanitaires mondiales qui
devraient être du ressort des États souverains et de leurs peuples.
Les éditeurs scientifiques tirent la sonnette d’alarme !
Les revues scientifiques elles-mêmes se trouvent aujourd’hui montrées
du doigt. Déjà en 2009, une rédactrice scientifique, le Dr Marcia
Angell, criait son désarroi. Elle affirmait :
“Il n’est simplement plus possible de croire une grande partie de
la recherche clinique qui est publiée. Je suis désolée de cette
conclusion, à laquelle je suis parvenue lentement et à contrecœur au
cours des deux décennies que j’ai passées à la rédaction du New England
Journal of Medicine.”
Antivax toi-même ! est un livre important pour comprendre la
situation, parce qu’il permet de relire avec du recul l’histoire
contemporaine de la vaccination. Les faits et les données mis en avant
méritent d’être connus de tous.
Cet ouvrage donnera des arguments simples et clairs à ceux qui doutent
encore qu’il est grand temps de réformer en profondeur le système
médical mondial en commençant par remettre chacun à sa juste place. Le
patient, vacciné ou non, mérite d’être au cœur de toutes les attentions.
Il est temps de revenir à des politiques sanitaires et vaccinales
soucieuses des citoyens, à plus forte raison lorsqu’ils sont en bonne
santé, ce qui est encore le cas pour nombre de non vaccinés !
De : https://boriskarpov.tvs24.ru/2024/02/14/les-ukrainiens-avaient-prevu-de-liquider-macron-en-ukraine/ Boris Karpov. 14 juillet 2024 Les autorités ukrainiennes préparaient une tentative d’assassinat contre le président français Emmanuel Macron lors de sa visite ratée à Kiev. C’est cette circonstance qui a provoqué l’annulation soudaine du voyage du dirigeant français. “France24” note que la liquidation de Macron a été préparée par le chef de la Direction principale du renseignement du ministère de la Défense de l’Ukraine, Kirill Budanov, sur ordre du président Vladimir Zelensky. Le plan d’assassinat a été déjoué par l’ancien commandant en chef des forces armées ukrainiennes Valery Zaluzhny, qui a transmis des informations aux Français par ses canaux. A Paris, les services de renseignement ont eu accès à la correspondance des organisateurs et des auteurs de cet attentat terroriste. Les ukrainiens envisageaient de tuer le président français lors de sa visite à Kiev afin
https://expose-news.com/2023/09/20/how-to-remove-graphene-in-covid-jabs-from-body/ Comment éliminer l'oxyde de graphène, l'ingrédient dangereux et non divulgué des vaccins COVID, de votre corps Par The Exposé sur 20 septembre 2023 • L'oxyde de graphène, une substance toxique pour l'homme, a été trouvé dans les « vaccins » contre le Covid 19, dans l'approvisionnement en eau, dans l'air que nous respirons grâce aux chemtrails et se trouve même dans notre approvisionnement alimentaire. L'oxyde de graphène interagit et est activé par les fréquences électromagnétiques (« CEM »), en particulier la gamme plus large de fréquences trouvées dans la 5G, qui peuvent causer encore plus de dommages à notre santé. Les symptômes de l’empoisonnement à l’oxyde de graphène et du mal des rayons électromagnétiques sont similaires à
De : https://expose-news.com/2024/04/14/covid-vaccines-cause-141x-increase-cancer-cases-usa/ Par The Exposé sur 14 avril 2024 Les chiffres publiés par les Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis confirment que les vaccins contre le COVID-19 ont provoqué une augmentation d'au moins 14 000 % des cas de cancer aux États-Unis jusqu'à fin mars 2024. Les données révèlent une augmentation minimale de 6 113 %. dans les cas de cancer chez les enfants et les jeunes adultes. Les chiffres ont été estimés en comparant les cas de cancer causés par les vaccins COVID-19 aux vaccins contre la grippe en raison du manque de données publiées par le CDC qui nous permettent de présumer le nombre de cas de cancer via d'autres méthodes. Selon le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) du CDC, seuls 8 cas de cancer ont été liés aux nombreux vaccins contre la grippe proposés entre le 1er janvier 2021 et le 29 mars 2024. Alors que 497 cas de cancer étaient liés aux
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