Un rapport de Haaretz suggère que jusqu'à 40 % des Juifs ashkénazes pourraient souffrir de troubles mentaux comme la schizophrénie
De : https://www.naturalnews.com/2024-10-21-haaretz-40-percent-ashkenazi-jews-schizophrenia.html
Par Ethan Huff le 21 octobre 2024
Une équipe de scientifiques d’Israël et des États-Unis a découvert un gène inhérent à la lignée ashkénaze qui fait qu’environ 40 % des Juifs ashkénazes développent une schizophrénie – contre seulement 15 % de la population générale.
Le gène en question, que certains considèrent comme défectueux, est également lié à d'autres troubles mentaux, notamment le trouble schizo-affectif et la dépression maniaque. Un article à ce sujet a été publié à l'époque dans la revue Nature .
L'étude a été dirigée par le professeur Ariel Darvasi, doyen adjoint de la Faculté des sciences de la vie de l' Université hébraïque de Jérusalem , en coordination avec le Dr Todd Lencz de l'Institut Feinstein pour la recherche médicale de New York, tous deux juifs.
La première partie de l’étude a porté sur le plus grand échantillon de Juifs ashkénazes jamais étudié. Quelque 2 500 Juifs ashkénazes d’Israël ont fourni des échantillons d’ADN pour la recherche – 1 500 d’entre eux étaient en bonne santé et les 1 000 autres souffraient de troubles mentaux associés à la schizophrénie.
Les juifs ashkénazes ont été spécifiquement choisis pour cette étude car ils sont considérés, selon Haaretz , comme « un groupe particulièrement homogène en termes génétiques ». En d'autres termes, leur étude permet d'identifier facilement les différences en raison de la variation génétique limitée.
« La technologie actuelle permet une analyse très complète de l'ADN et la capacité de lire des millions de points SNP – essentiellement des liens dans la chaîne d'ADN – en même temps, ce qui rend l'analyse de l'ADN très efficace », a commenté Darvasi à Haaretz à l'époque à propos de la méthodologie de la recherche.
(En lien : Avez-vous lu ce que le Jerusalem Post vient de publier pour célébrer tous les Juifs puissants qui contrôlent le monde ?)
La folie juive
Pour la première partie de leur recherche, Darvasi et ses collègues ont étudié le gène NDST3, présent chez 99,9 % de la population générale. Chez les personnes atteintes de troubles schizophréniques, il existe deux variantes spécifiques du gène NDST3, selon Darvasi, qui a découvert que les juifs ashkénazes porteurs de ces variantes ont 40 % plus de risques que ceux qui n'en sont pas porteurs de développer un trouble lié à la schizophrénie.
Après avoir recueilli des échantillons pour la première partie de leur expérience, l'équipe a lancé une deuxième évaluation plus complète dans laquelle elle a examiné plus en détail les variations du gène NDST3 par rapport à d'autres maladies et parmi d'autres populations du monde entier. Elle a recueilli des échantillons pour cette partie auprès de plus de 25 000 personnes de nombreux pays et continents différents, dont l'Europe, l'Asie et l'Afrique, afin de couvrir « toutes les ethnies principales de la race humaine », selon Darvasi.
« En ce qui concerne le groupe d'échantillon plus large, la prévalence de ce même gène a augmenté les chances de contracter les maladies de 15% en moyenne, dans les autres populations étudiées », a-t-il déclaré, notant que le pourcentage est beaucoup plus élevé pour les Juifs ashkénazes présentant des variations NDST3.
Alors que seulement environ 1% de la population générale souffre de schizophrénie, les résultats de la recherche de Darvasi et al. suggèrent que 40 % des Juifs ashkénazes souffrent de cette maladie, ceci sur la base d'un échantillon de 3 500 Juifs ashkénazes utilisé pour la première partie, parmi lesquels 1 000 Juifs ashkénazes souffraient d'une certaine variante de maladie mentale.
Quelqu'un sur X / Twitter a partagé les captures d'écran suivantes montrant que ce type de recherche a déjà eu lieu et a abouti à des résultats similaires. En remontant jusqu'aux années 1800, les chercheurs ont identifié ce qu'ils ont décrit comme la « folie juive » :
Vous trouverez davantage d'informations sur les étrangetés génétiques sur HealthScience.news .
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