Lors du déploiement du vaccin contre la COVID, les géants pharmaceutiques ont commis 53 violations du Code de pratique du Royaume-Uni
De : https://www.naturalnews.com/2025-03-19-pharmaceutical-giants-53-violations-uk-code-of-practice.html
Le groupe de campagne britannique UsForThem a récemment publié une vidéo résumant les plaintes déposées auprès de la Prescription Medicines Code of Practice Authority (PMCPA), l'organisme d'autorégulation de l'industrie pharmaceutique. Publiée le 18 mars 2025, la vidéo expose une série d'infractions commises par ces entreprises , notamment :
- Allégations trompeuses sur la sécurité et l’efficacité des vaccins.
- Commercialisation inappropriée des vaccins auprès des enfants.
- Allégations de corruption et de pratiques contraires à l’éthique.
- Jeter le discrédit sur l’industrie pharmaceutique.
La vidéo se conclut par un réquisitoire accablant : « Malgré un historique d'infractions graves et persistantes, aucune amende ni autre sanction n'a été infligée par l'autorité de régulation. Le système réglementaire pharmaceutique britannique est défaillant. »
Un système défaillant : l’autorégulation fait défaut au public
La PMCPA, qui administre le Code de déontologie de l'Association de l'industrie pharmaceutique britannique (ABPI), est chargée de veiller à ce que les entreprises pharmaceutiques exercent leurs activités de manière éthique et responsable. Cependant, son incapacité à imposer des amendes ou des sanctions significatives l'a rendue largement inefficace. Les entreprises reconnues coupables d'infraction au code sont tenues de payer des frais administratifs et de fournir des engagements écrits, mais ces mesures n'ont guère dissuadé les infractions répétées.
Le Code de déontologie de l'ABPI interdit explicitement la promotion auprès du public des médicaments délivrés uniquement sur ordonnance, y compris les vaccins. Pourtant, Pfizer, Moderna et AstraZeneca ont enfreint cette règle à plusieurs reprises, utilisant les réseaux sociaux et d'autres plateformes pour commercialiser leurs produits directement auprès des consommateurs. Un cas particulièrement flagrant concerne un employé de Pfizer qui a retweeté un message trompeur concernant le vaccin contre la Covid-19 de l'entreprise, message resté visible publiquement pendant plus de deux ans avant d'être supprimé.
Le coût humain : des pratiques contraires à l’éthique généralisées et une confiance publique détruite
Les violations commises par ces géants pharmaceutiques ne sont pas de simples erreurs bureaucratiques ; elles représentent une profonde trahison de la confiance du public. En induisant le public en erreur sur la sécurité et l'efficacité de leurs vaccins, ces entreprises ont mis d'innombrables vies en danger. La commercialisation abusive de vaccins auprès des enfants, un groupe démographique particulièrement vulnérable, est particulièrement alarmante.
« La litanie des infractions graves et persistantes comprend le fait d'induire le public en erreur sur la sécurité et l'efficacité de leurs vaccins, de discréditer l'industrie pharmaceutique, de commercialiser abusivement leurs produits auprès des enfants et de verser des pots-de-vin », a déclaré UsForThem dans sa vidéo.
Malgré ces graves infractions, la PMCPA n'a pas pris de mesures décisives. Ce manque de responsabilité soulève des questions troublantes quant à l'influence des sociétés pharmaceutiques sur les organismes de réglementation. Avec quatre membres sur dix du Conseil d'appel du Code de pratique représentant des sociétés pharmaceutiques, il n'est guère étonnant que l'industrie continue d'opérer en toute impunité.
Les révélations sur les violations du code de déontologie britannique par Pfizer, Moderna et AstraZeneca exigent une réforme urgente, notamment une refonte du système de supervision des entreprises pharmaceutiques. Le système actuel d'autorégulation s'est avéré inadéquat pour protéger le public des pratiques contraires à l'éthique. Une surveillance renforcée, des sanctions significatives et une plus grande transparence sont essentielles pour restaurer la confiance dans l'industrie pharmaceutique, si tant est que cela soit possible aujourd'hui.
Face à un tel mépris flagrant des normes éthiques, on peut se demander : la justice sera-t-elle un jour rendue ou l’industrie pharmaceutique continuera-t-elle à fonctionner au-dessus des lois ?
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