Souvenirs de 2013
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Quelques hallucinations
Dans le cadre d’une hospitalisation bidon , j’avais été sollicitée pour répondre à un questionnement devant un public .
J'étais dans un endroit où il valait mieux ne pas refuser .. sauf à vouloir subir des représailles pour... "hostilité"
Mes réponses sans fard avaient seulement fait état de mon quotidien, constitué d’un amoncellement de crapuleries de toutes natures. Ces crapuleries relèvent de ce qu’on appelle le harcèlement en réseau.
Mais, ce terme de crapuleries ne faisait pas l’affaire . Et le toubib-montreur-de- cas l’avait d’autorité remplacé par celui d’ « hallucinations » .
Ce changement de vocabulaire par un et des spécialistes en blouse blanche , transformait ainsi des faits objectivés et objectivables, en une pathologie de la victime des crapuleries.
C’était le but.
Ces crapuleries avaient pourri mon existence sans que je prenne le temps d’essayer de les comprendre pendant longtemps. Elles avaient sans doute pour origine une histoire familiale de haine banale et qui avait dérivé grâce à l'armée où travaillait mon frère.
Les réseaux crapuleux de l'armée sont redoutables.
Voici donc ci-dessous, pour mémoire, quelques exemples –seulement- de ce que le corps médical qui m'avait droguée et kidnappée sur ordre, voulait absolument nommer '"des hallucinations" .
C'est leur moyen (le vocabulaire) pour gruger la sécu.
Toutes ces "dites" hallucinations avaient été faites à l’intérieur de divers appartements et de leurs placards, par des voyous approvisionnés en clés copiées par d’autres voyous .
Toutes ces clefs étaient soit du type « haute sécurité » ou « très haute sécurité » .
Des faits dont la police et la justice nient l’existence… avec, cette fois, l’aide de quelques membres corps médical kidnappeur , aux ordres, pour la touche finale.
Ceci est un « mouchard » trouvé par un employé de France Télecom dans une prise de téléphone . Il en a été trouvé un autre semblable dans un second appartement.
Ceci est un émetteur-mouchard trouvé sous une lampe, elle-même placée près d’un téléphone
Chaussures
Ces « hallucinations » du 22 rue Ernest Renan sont à rapprocher de celles de l’article « les couturières du XVème »
Talon de chaussure dégradée pendant mon absence , à l’intérieur d’un appartement
jupe sur fond d’exposition d’autres » hallucinations »
Chaise blanche injectée d’encre bleue
Mobilier
Photos envoyées avec le dossier à la Cour Européenne des Droits de l’Homme
Bahut
Entaille faite au cutter sur un bahut
Valise
Valise découpée ( les 2 côtés) dans un placard
Boite
Boite fantaisie découpée dans une armoire
statue en bois polychrome
Statue décapée par écorchements successifs
Et ci-après des exemples » d’hallucinations » affichées sur la barre d’état de mes recherches sur internet et où l’on trouve systématiquement l’information « psy »
ww.google.fr/#sclient=psy-ab&q=eucach&oq=eucach&gs_l=hp.3..0i19.2873.4819.0.7516.6.6.0.0.0.1.447.1555.0j3j1j0j2.6.0…0.0…1c.1.17.psy-ab.4wcf52Z1_qI&pbx=1&bav=on.2,or.r_qf.&bvm=bv.47883778,d.d2k&fp=ca46faf65a0c1311&biw=1366&bih=596
http://www.google.fr/#gs_rn=17&gs_ri=psy-ab&suggest=p&cp=7&gs_id=9p&xhr=t&q=peacepink&es_nrs=true&pf=p&output=search&sclient=psy-ab&oq=peacepi&gs_l=&pbx=1&bav=on.2,or.r_qf.&bvm=bv.47883778,d.d2k&fp=ca46faf65a0c1311&biw=1366&bih=596
Hallucinant , non ?
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le côté artisanal , outre plus conforme à l'époque ( début des années 2000) était sans doute destiné à ne pas être repérable à distance par vérification sur la ligne de téléphone . En tout cas l'employé du téléphone avait du venir sur place pour trouver et avait semblé aussi surpris que moi.
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