La sidérante attaque de la presse subventionnée contre les publications scientifiques: elle ne se contente plus de les censurer , elle veut les remplacer
2 septembre 2024
La technique était connue, soit inventer un pseudo consensus (le climat) soit ne retenir qu’une étude sur 100, la plus mauvaise et ne jamais parler de la rétractation . Ainsi la presse subventionnée ne parla jamais des centaines d’études qui valident l’ivermectine mais propagea les idioties de la call girl Anderson contre l’hydroxychloroquine. Puis silence quand l’étude fut rétractée.
Au début de l’année roulement de tambour sur une étude bidon attestant que 17000 personnes étaient mortes de l’HCQ. Le monde scientifique éclate de rire puis s’indigne, tout est grossier , pipoté
LA METHODE DE L ETUDE
ON prend un taux de surmortalité hydroxychloroquine provenant de doses toxiques 12 fois plus élevées que celles prescrites
On le multiplie par un pourcentage de patients traités à l’HCQ totalement inventé
On le multiplie par le nombre de décés covid
ON ARRIVE A UN RESULTAT REPRIS PAR LES MEDIA
Devant tant de bêtise l’étude fut rétractée
La Revue a été informée des débats des lecteurs au sujet de cet article. La Revue a reçu un certain nombre de lettres à la rédaction et de correspondances de lecteurs.
Le plan, tel que publié dans une version antérieure de cette note de l’éditeur, était initialement de publier ces lettres à l’éditeur, après que les auteurs de l’article ci-dessus aient eu le droit de répondre et de soumettre une réponse (qui serait également publiée, après examen).
Après avoir évalué toutes les informations à ce stade, ainsi que l’étendue et la profondeur des critiques, le rédacteur en chef a pris la décision de changer d’approche et de traiter cette question par le biais du processus du Comité d’éthique des publications (COPE) pour les corrections du dossier scientifique :https://publicationethics.org/
Professeur Danyelle Townsend, rédactrice en chef, Biomédecine et Pharmacothérapie
La réaction de la presse subventionnée: la science c’est nous pas les revues scientifique
Rien que le titre promet : « Rétraction d’une étude sur l’hydroxychloroquine : intimidations, réseaux pro-Raoult et « procès en hérésie » On sait que l’on ne va pas parler de la fraude scientifique qui a été reprise dans les médias dans le monde entier sans précaution aucune, ni des origines de cette étude. Avec
@beauantoine la désinformation commence dès le titre.
Les biais du sous-titre confirment : « Le retrait d’une étude estimant à 17 000 le nombre de victimes de l’hydroxychloroquine, utilisée à tort contre le Covid-19, suscite de vives inquiétudes chez les scientifiques. » Aucune précaution et on oriente sur le fait que ce retrait serait inquiétant plutôt que de chercher à comprendre pourquoi cette étude n’aurait pas dû être publiée !
Dites donc, la manipulation et les fakenews, c’est pas beau monsieur Beau
Tout est déformé ou manipulé dans cet article de l’@LEXPRESS
, de la belle désinformation dans le domaine de la Santé Qu’en disent la@Miviludes_Gouv
, et le ministère@MinistereCC
qui surveillent les fakenews du domaine de la santé dans les médias ?
Parce que la vraie information est que
: 1-l’article a été rétracté par l’éditeur
2- cela a fait suite à plusieurs « letter of concern » ( critiques scientifiques sur le fond de l’article envoyées à l’éditeur )
3- l’éditeur a décidé qu’au vu « de l’étendue et de la profondeur de la critique » l’article devait être soumis au processus COPE (Comité d’éthique de la publication) 4- suite au processus COPE et aux 2 PROBLÈMES MAJEURS qui ont été mis à jour via COPE,
l’éditeur a décidé de rétracter l’étude Tout le reste n’est que manipulation https://sciencedirect.com/science/article/pii/S075333222301853X?via%3Dihub
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