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lundi 2 septembre 2024

Un Premier ministre, pourquoi faire ?

Erby
L’un, Emmanuel Macron, tient à son coup d’État et à sa gouvernance version start-up, au service des multinationales et des banquiers. Les autres, la meute des « opposants politiques », dressée à vociférer,  comme on fait la claque dans une mauvaise pièce de théâtre, se contentant de ce rôle provisoire jusqu’au prochain tour de manège.

En réalité, dans le contexte sulfureux actuel, le confort consiste à tout faire pour ne pas hériter d’une gouvernance dont personne ne veut. 
Qui veut vraiment de la patate chaude dans la paume de sa main ? 
Qui, pour briser réellement la chaîne avec la mère maquerelle de l’UE, tirant profit du commerce de la chair ? 
Qui avec assez de courage pour tourner le dos à l’Empire américain et reconstruire le pays, à partir des lambeaux restants ? Personne.

Que fait-on alors en attendant le sursaut ? On raconte des histoires comme celle du loup à la veillée. Aucun membre de la meute n’ayant d’autre intérêt que le sien propre. On ne quitte pas une si bonne place pour aller jouer le « résistant » risquant de tout perdre pour des gens qui…

Comme la situation n’est pas assez urgente, en cette période de rentrée, les syndicats – divisés comme il se doit – ont décidé de se donner le temps pour « organiser une riposte » ad hoc ! Le temps de laisser le temps grignoter les menues intentions qui restent.
Dans ce tout habilement boutiqué, il ne reste plus rien où le « peuple », cette obscure entité bien réelle dont on parle comme d’un amas diffus, ne puisse s'accrocher à autre chose qu'à son téléphone portable, bientôt greffé aux esgourdes dès la naissance pour se donner l'air de quelqu'un d'important.

Le syndicalisme, lui aussi, s’est fondu dans la masse.
Deux camps supposés opposés se disputent l’exercice du pouvoir. Laissons de côté les extrêmes. Ils sont là pour se faire tricoter le poil. C’est la planète interdite. Ceux que ni droite ni gauche n’ont pas le droit de solliciter pour faire la différence dans le cadre d'une élection. Une « bonne cause » ne saurait se compromettre avec le diable, que diable !

Quand la droite tire sur la corde, la gauche couine et recouine, entraînant dans son sillage la très corvéable main d’œuvre des brigades bobos. Des écervelés pour qui barouf et formules à l’emporte-pièce font office de programme électoral et de manifeste philosophique.

La droite s’en va, justement déshonorée, et la gauche prend le siège encore chaud, pas pour arrêter le massacre, mais pour continuer le travail de destruction laissé en plan par les sortants !

Prétexte à son impuissance : « La droite a tellement mal fait les choses, qu’il est impossible de les réparer. » Alors, la gauche fait pire !
Les deux camps se frottant les mains par la réussite de ce merveilleux tour de passe-passe !

La nomination du prochain Premier ministre (on parle beaucoup de celui-ci) s’inscrit dans cette logique : faire croire qu’il existe deux camps retranchés se livrant une guerre sans merci. La réalité est autre : ces gens « respectables » ont conclu un pacte avec les globalistes pour qui la disparition de milliards d’êtres humains est une obsession. Le restant, profitant des « bonnes grâces » des seigneurs de la haute, arborera un QR code muni d’un explosif implanté dans l’occiput, qui explosera en cas de désobéissance grave, pour une robotisation express et une planète enfin débarrassée de ses scories !

Heureusement, les lignes bougent et les choses ne se présentent pas très bien pour ce pouvoir profond qui donne des signes conséquents d’affaiblissement. On parle même d’agonie, mais celui-ci ne disparaîtra pas sans des dégâts irréparables. 

Sous l’Casque d’Erby 



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