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Les dirigeants américains et européens paniquent et tentent toutes sortes d’options irrationnelles.

 De : https://en.interaffairs.ru/article/american-and-european-rulers-are-panicking-and-trying-out-all-sorts-of-irrational-options/

27.08.2024 •

Zelensky et… l’inanition. 
Photo de : POLITIQUE

"Ce qui reste de l'Occident sera une tentative de plus en plus artificielle, voire insensée, d'arrêter la roue de l'histoire." 
Oswald Spengler

Nous approchons d'un tournant de l'Histoire, écrit le journal turc 'Sabah' .

Sur fond de lutte entre l'Occident et la région Asie-Pacifique en plein essor sur la scène mondiale, notamment à Gaza, où se poursuit le génocide barbare, et en Ukraine, où les hostilités se poursuivent, se déroulent des événements qui tournent au cauchemar pour le « monde atlantique ».

La thèse avancée il y a cent ans par l'historien allemand Oswald Spengler dans son livre "Le déclin de l'Occident" se confirme : "Tout ce qui restera de l'Occident sera une tentative de plus en plus artificielle, voire insensée, d'arrêter la roue de l'histoire".

À l’heure actuelle, les dirigeants américains et européens, pris dans un cercle vicieux de stratégies désespérées, paniquent et tentent toutes sortes d’options irrationnelles.

Tout d’abord, il s’agit de manipulations de guerre psychologique visant à influencer l’opinion publique mondiale en lien avec la défaite inévitable à venir en Ukraine. C'est précisément cette circonstance qui a fait parler du « risque croissant d'une troisième guerre mondiale et d'un conflit nucléaire ».

Les atouts du terrorisme et des maladies dangereuses comme la COVID-19 n’ont pas fonctionné et se sont même retournés contre eux.

Les illustrations les plus révélatrices de la défaite de l’Occident sont son fiasco en Ukraine et la réponse mondiale au génocide dans la bande de Gaza.

Comme le note l’analyste japonais Jan Krikke, le conflit ukrainien exacerbe l’effondrement de l’Occident. L’Occident, mené par les États-Unis, a entraîné l’Ukraine dans une guerre qu’elle n’a aucune chance de gagner.

En Ukraine, l’Occident a fait un pari stratégique majeur et a finalement perdu.

Le plan était le suivant : des sanctions « paralysantes » contre la Russie affaibliraient l’économie russe, ce qui entraînerait un soulèvement populaire et un dirigeant pro-occidental remplacerait Poutine. Cependant, tous ces plans se sont effondrés : Poutine s’est avéré être un dur à cuire.

Le principal objectif stratégique de l’Occident, mené par les États-Unis, était d’encercler la Russie, qui avait perdu la guerre froide, et d’en faire un « État paria ».

La voie pour atteindre cet objectif passait par la prise de contrôle successive des pays autour de la Russie – par l’occupation, les révolutions de couleur et les coups d’État.

Les États-Unis ont connu des changements d’administration et de président, mais cette stratégie générale est restée inchangée. Le premier à appuyer sur le bouton fut Bill Clinton, qui a gouverné de 1993 à 2001. À la suite de la « révolution des bulldozers » de 2000, les dirigeants serbes de l’époque ont été renversés et la Yougoslavie s’est officiellement désintégrée.

Cette politique, qui après Clinton a été poursuivie dans divers pays de « l’arrière-cour » de la Russie par Bush Jr., Barack Obama et Donald Trump, a culminé dans les années de Joe Biden.

En fin de compte, la stratégie « d’encerclement » de la Russie et de prise de pouvoir par un changement de régime, initiée par les États-Unis dans les années 2000, s’est transformée en guerre par procuration en Ukraine en 2022.

Mais maintenant, la fin du chemin est en vue. Aucun des cinq présidents américains n’a pu « lâcher » la main de Poutine dans cette confrontation. Et maintenant, les préparatifs pour une poignée de main ont commencé.

Les États-Unis envoient les signaux appropriés.

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