Variole du Singe : Comprendre ce virus et se protéger de la désinformation avec le Docteur Martin Zizi

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La variole du singe, également connue sous le nom de monkeypox, est un virus qui a été remis au goût du jour par l'OMS. Le Dr Martin Zizi, figure éminente dans le domaine de la biophysique et de l'épidémiologie moléculaire, a partagé des informations cruciales sur ce virus, ses modes de transmission, et les mesures de prévention. Voici un résumé de ses publications.

mise à jour le 15/08/24

La variole du singe est un virus qui peut être contrôlé par des mesures simples de prévention. La vaccination est inutile et potentiellement dangereuse.

Origine et Transmission :
– La variole du singe est un virus des forêts de l’Afrique orientale, transmis principalement par contact physique (sang, vésicules sur la peau), souvent par morsure.
– Il existe deux variants du virus : l’un avec un risque de mortalité et de morbidité de 0 %, et l’autre avec un risque entre 7 et 10 %.

Contamination entre Humains :
– Le risque principal reste le contact direct avec la peau des personnes infectées, notamment via les literies et le partage de vêtements.
– Il est crucial d’éviter les contacts intimes avec les personnes malades, y compris les baisers et les relations sexuelles.
– La transmission aérienne est nulle, tout comme la transmission par d’autres moyens.

Porteurs Asymptomatiques :
– Contrairement à d’autres maladies, il n’existe pas de porteurs asymptomatiques pour la variole du singe. Les personnes sont soit malades et contagieuses via les pustules, soit non malades et non contagieuses.

Traitement et Prévention :
– Le traitement est principalement symptomatique, avec l’utilisation de topiques comme l’azithromycine.
– La prévention est simple : éviter les contacts directs et intimes avec les personnes infectées. Un vaccin est inutile car la contamination nécessite un contact direct.

Informations sur le Vaccin

– Vaccin Existant :
Il n’existe pas de vaccin spécifique pour la variole du singe, mais le vaccin contre la variole humaine peut être utilisé en raison de l’immunité croisée. Les personnes nées avant 1980 ont probablement été vaccinées contre la variole humaine et possèdent donc des anticorps croisés.

– Risques du Vaccin :
Le vaccin contre la variole humaine est basé sur une souche de variole atténuée qui crée une mini-maladie locale. Cependant, il y a un risque de recombinaison moléculaire entre le virus de la variole du singe et la souche vaccinale, ce qui pourrait potentiellement recréer la variole humaine.

– Rapport Bénéfice/Risque :
Les effets secondaires du vaccin anti-variolique peuvent être plus dangereux que la variole du singe elle-même. Le rapport bénéfice/risque est donc inexistant, et la vaccination pourrait entraîner des conséquences graves.

Alerte à l’Attentat Organisé

Le Dr Zizi émet une alerte concernant un possible attentat bioterroriste organisé. Si la variole du singe devait se répandre rapidement, ce serait une preuve d’un relâchement volontaire et organisé, probablement orchestré par des entités comme l’OMS. Il souligne que la variole du singe n’est pas un virus aérogène et ne peut se disperser efficacement sans intervention humaine.

Conclusion

La variole du singe est un virus qui, bien que potentiellement dangereux, peut être contrôlé par des mesures simples de prévention. La vaccination est non seulement inutile mais aussi potentiellement dangereuse. Il est crucial de partager ces informations pour éviter la désinformation et les actions inappropriées. Le Dr Zizi appelle également à une vigilance accrue concernant les actions de l’OMS et d’autres entités impliquées dans la gestion de cette crise sanitaire.

Cet article est basé sur les publications du Dr Martin Zizi qui sont a retrouver sur son compte X.

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