Quatre villes de la Nouvelle-Angleterre imposent des confinements tyranniques après qu'un « virus extrêmement rare » a infecté UNE PERSONNE
De: https://www.naturalnews.com/2024-08-28-new-england-lockdowns-extremely-rare-virus-one-infected.html
Désormais, chaque nuit, les habitants et les visiteurs de ces quatre villes seront mal vus s'ils sont repérés devant leur domicile après la tombée de la nuit, ceci pour arrêter la propagation de cette maladie potentiellement mortelle transmise par les moustiques.
Ce cas le plus récent d'EE est le premier depuis 2020 à être confirmé dans le comté de Worcester par le ministère de la Santé publique du Massachusetts (DPH).
Le conseil de santé d'Oxford a voté en faveur de la recommandation selon laquelle les gens devraient rester à l'intérieur après 18 heures tous les soirs jusqu'au 30 septembre au moins, car le virus EEE ne se propage apparemment qu'après le coucher du soleil. À partir du 1er octobre, le confinement d'Oxford commencera une heure plus tôt, à 17 heures tous les soirs, et restera ainsi jusqu'à ce que les premières fortes gelées frappent la région.
Les autorités ont indiqué que les mesures de confinement étaient « volontaires » dans le sens où « aucune mesure d'application ne sera prise » si les habitants refusaient de s'y conformer. Il y a toutefois un hic : quiconque souhaite « utiliser les terrains municipaux en dehors de ces recommandations… devra fournir une preuve d'assurance et signer un formulaire d'indemnisation ».
Apparemment, les personnes sans assurance n'ont pas de chance et devront rentrer chez elles et « rester en sécurité » chaque soir au coucher du soleil, en autorisant uniquement ceux qui sont suffisamment riches pour avoir une assurance à utiliser les installations publiques extérieures – on peut parler d'un procès en attente.
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Selon le CDC, il n'y a que « quelques cas » d'EEE à l'échelle nationale chaque année
On pourrait penser, au vu des mesures prises par le gouvernement du Massachusetts, que l’EEE est un fléau qui se propage rapidement et qui menace des villes entières d’extinction, à moins que les gens ne rentrent chez eux à la tombée de la nuit. En réalité, l’EEE ne constitue absolument pas une menace.
Selon les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), seuls quelques « cas » d'EEE se produisent chaque année aux États-Unis. En d'autres termes, l'EEE n'existe pratiquement pas pour 99,999 % de la population.
La seule raison pour laquelle l'idée d'imposer un confinement à l'échelle d'une ville pour quelque chose d'aussi inoffensif que l'EEE est envisagée est à cause du précédent créé par la « pandémie » de coronavirus de Wuhan (COVID-19). Désormais, chaque fois que le gouvernement ou les médias font état d'une « menace », ils peuvent s'en tirer avec beaucoup plus de tyrannie qu'avant la COVID, car le public a été conditionné à accepter la paranoïa excessive et la tyrannie comme « solutions » aux « virus ».
Dans les commentaires, quelqu'un a demandé si les habitants du Massachusetts avaient subi un lavage de cerveau suffisant pendant la COVID pour tomber dans le piège et obéir, ou si suffisamment de personnes avaient pris conscience que le monde était victime de l'arnaque de la COVID.
« Vont-ils tomber dans le panneau ou vont-ils ignorer catégoriquement ces nouvelles « recommandations » du département de l'Enfer Public ? » a écrit cette personne.
Un autre a écrit qu'il s'agissait d'un « timing douteux » pour que les gouvernements recommencent à mettre en œuvre des mesures de santé publique « impulsives », et que cela pourrait avoir quelque chose à voir avec le soutien de Robert F. Kennedy Jr. à la candidature de Donald Trump à la présidence.
« Le membre le plus éminent du clan Kennedy qui soutient Trump est susceptible de faire basculer toute la côte Est dans le rouge, c'est donc probablement le moment opportun pour les démocrates déchaînés de préparer une autre campagne de désinformation et de faire de leur mieux pour instiller la peur dans les États de l'Atlantique Nord », a déclaré cette personne.
« Il semble qu'ils aient un nouveau jouet, le "confinement", et qu'ils ne puissent pas se résoudre à le poser », a écrit un autre à propos des tyrans de la santé publique devenus accros au pouvoir pendant la COVID.
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