Selon le brevet , les injections C19 contiennent de l' ARNm de virus de variole multi-espèces

 De : https://karenkingston.substack.com/p/covid-19-injections-were-encoded?

Alors que le NIH a dépensé plus de 288 millions de dollars pour intégrer un « poxvirus » (  virus de variole) à ARNm latent dans les « vaccins » contre le SRAS-2 afin d’affaiblir le système immunitaire, en 2021, le NTI a prédit 271 millions de décès dus à la variole du singe.

19 août 2024 

19 août 2024 : Dans cette interview du 24 mai 2022, Maria Zeee et moi approfondissons la simulation Monkeypox de novembre 2021 de la Nuclear Threat Initiative (NTI) ( menace nucléaire). Ce qui était alarmant, c’était la prévision de 271 millions de décès dus à la « variole du singe » et une approche mondiale « sans regret » pour gérer les « épidémies ».

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Vous pouvez voir l’ interview complète de 2 heures ici .

L’ARNm de Monkeypox est intégré aux injections du COVID-19

Le 25 mai 2022 , Stew Peters m'a invité pour discuter des documents qui prouvent que la variole du singe est un agent pathogène d'origine humaine intégré dans les « vaccins » à ARNm du SRAS-CoV-2 et une dissimulation d'une maladie auto-immune associée au vaccin (VAIDS), ainsi qu'à l’exposition des rayonnements 5G ou de retombées d'essais nucléaires

Faits saillants de l’entretien des 24 et 25 mai 2022 :

  • Des chercheurs américains et canadiens ont déposé une demande en Chine pour coder « l'ARNm de la variole du singe » en tant que virus latent dans l'ARNm du SRAS-CoV-2 trouvé dans les injections d'ARNm du COVID-19 de Pfizer et Moderna.

  • La NTI (Nuclear Threat Initiative) prévoit que 271 millions de personnes mourront de la variole du singe sur une période de moins de 2 ans.

  • Selon les recherches du NIH, la variole du singe est une forme de VAIDS (maladie auto-immune associée aux vaccins) et vise à échapper et à affaiblir le système immunitaire.

  • Depuis 1999, les NIH ont dépensé plus de 288 millions de dollars pour créer des « vaccins » et des « virus » contre la variole du singe et d'autres « vaccins » et « virus » immunosuppresseurs.

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Vous pouvez voir l' interview complète de 9 minutes ici .

Rapport du 26 mai 2022 : L'OMS ignore les cas de MPox en Chine

Bien que des chercheurs chinois aient identifié 20 patients atteints de « variole du singe » le 24 mai 2022, le 26 mai 2022, l’OMS n’a pas reconnu la Chine comme une nation touchée par une épidémie de « variole du singe » qui pourrait être soumise à des confinements.

REMARQUE : l'OMS considère qu'un (1) cas est une « épidémie » pouvant conduire à une pandémie mondiale.

27 mai 2022 - Le Conseil mondial de la santé dénonce l'OMS pour de faux rapports sur la variole du singe et pour l'utilisation de photos d'archives à des fins de propagande de campagne de peur

Le 27 mai 2022, le Conseil mondial de la santé a rapporté que les déclarations d'épidémie de variole du singe de l'OMS étaient des « spéculations non scientifiques » « destinées à justifier de nouvelles violations des droits de l'homme ainsi que le déploiement de nouveaux vaccins expérimentaux contre la variole ».

Le Conseil mondial de la santé rapporte en outre qu’aucun cas de décès n’a été signalé en Afrique et que l’OMS utilisait d’anciennes images du CDC, de Getty et d’autres banques de photos sur Internet pour créer la propagande de la variole du singe.

29 mai 2022 : L’OMS identifie des « épidémies » de variole du singe dans les pays occidentaux

Peu de temps après cette interview , le 29 mai 2022, l'OMS a publié un rapport sur l'épidémie de variole du singe identifiant les pays susceptibles de constituer une menace comme étant le point de départ d'une pandémie de variole du singe.

La Chine confirme les boosters d'ARNm Pfizer et Moderna liés à la maladie auto-immune de type MPox

Une étude chinoise du 24 mai 2022 a confirmé que 20 patients présentaient des « cloques sous-cutanées sur la peau » (alias « variole du singe) après avoir reçu des injections de rappel d’ARNm de Pfizer ou Moderna.

La Nuclear Threat Initiative (NTI), Ted Turner, la 5G et Monkeypox

Stew m'a rapidement rappelé le 2 juin 2022 pour approfondir la discussion sur le projet de novembre 2021 de la NTI (Nuclear Threat Initiative) (présenté à l'origine par Edward Szall) visant à utiliser la variole du singe comme couverture non seulement pour les maladies et les décès à ARNm du COVID-19, mais aussi pour les lésions cutanées qui peuvent être provoquées par les rayonnements de la 5G ou les retombées des essais nucléaires spatiaux.

Nous sommes en guerre

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Des scientifiques canado-américains déposent un brevet en Chine pour intégrer l’ARNm de la variole multi-espèces dans les injections d’ARNm du SRAS-CoV-2 dans le cadre du « vaccin »

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